L'enseigne
Datte: 20/03/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
extracon,
grossexe,
poilu(e)s,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
entreseins,
Oral
double,
Partouze / Groupe
... autres bricoles sur des étagères, juchée sur un escabeau à trois marches. En un rien de temps, mon athlète en a terminé. Je ne me suis même pas aperçu que les fûts étaient sagement rangés, mais surtout que mon employé provisoire était assis sur le dernier fût, me contemplant en silence. Comme la veille, il avait choisi une position stratégique et semblait se régaler de la vue que ma position lui offrait. Ma courte robe ne devait en effet pas cacher grand-chose de mes cuisses, peut-être un peu plus… Lorsque je me suis aperçu de la situation, il était debout derrière mon escabeau. — Tu veux peut-être un coup de main ?— Non, je te remercie ! Tu peux remonter rejoindre Yann si tu veux, moi j’arrive dans un moment.— J’ai tout mon temps, Yann n’est pas près d’en terminer avec ses branchements… Si tu veux gagner du temps et ne pas te fatiguer, laisse-moi ta place, passe-moi tes cartons et je les range.— Ça, c’est une bonne idée ! Nous avons échangé nos places. Pour lui, mes cartons devaient être pleins de plumes. Il prenait tout de même beaucoup de précautions pour me les prendre des mains… et pour cause ! Si les rôles étaient inversés, le paysage aussi. Ce coquin plongeait sans vergogne les yeux dans mon décolleté. Cette fois, loin de me choquer, cela me ramena quelques heures en arrière. Je n’étais pas ligotée, ma robe était entière, mais les grosses mains velues me ramenaient à mon rêve. Un long frisson me secoua ; les souvenirs de l’après-midi d’hier, du songe de la nuit ...
... remontèrent en moi. Je sentis les pointes de mes seins durcir, mon entrejambe s’humidifier… Cela tournait à l’obsession. J’ai toujours aimé le sexe, mais là, c’était vraiment un comble ! Je restai un instant songeuse, oubliant de tendre mon carton à Dominique. — Allô… Jolie patronne ! Où es-tu ? Tu rêves ? Si ça pouvait-être de moi… Hummm !— Non, non… Je pensais à mes commandes pour demain.— Oh, la menteuse ! N’avais-tu pas l’esprit bien ailleurs ?— Non, pourquoi ?— Parce que je viens de surprendre deux très jolis tétons qui se sont redressés et ne vont pas tarder à percer ta robe.— Tu rêves, toi aussi ! C’est la fraîcheur de la cave. Il saisit mon carton, le déposa sur l’étagère puis, se retournant, il s’est assis sur la plus haute marche de l’escabeau. Face à moi, à hauteur de mes yeux, il ne me cachait plus, comme hier, l’horrible déformation de sa combinaison de travail. — Moi, la fraîcheur de la cave a tendance à me tendre aussi, pas au même endroit… À moins que ce ne soit ta présence.— Tu n’es qu’un horrible vicieux ! Tu n’as que ça en tête !— C’est vrai. Et toi ? Imagine simplement que la fermeture de ma tenue de travail cède…— Ennuyeux : tu serais obligé d’aller te changer.— Alors, pour éviter un problème, je vais être obligé de libérer ce qui me gêne. Il eut aussi vite fait que moi la veille pour faire glisser la fermeture de son bleu de travail. Une nouvelle fois, j’eus devant les yeux la toison épaisse de son torse, de son ventre. Mon regard n’a pu s’empêcher de ...