L'enseigne
Datte: 20/03/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
extracon,
grossexe,
poilu(e)s,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
entreseins,
Oral
double,
Partouze / Groupe
... descendre, suivant son geste. Je me suis mise à trembler devant la corne de chair monstrueuse dressée devant moi. D’une main, il a commencé à se caresser, allant et venant sur le membre qui semblait ne devoir jamais s’arrêter de grossir. Tirant sur la peau, il a libéré le gland mafflu, brillant, humide déjà des premières gouttes lubrifiantes. — Prends-le, ma belle Kris ; c’est pour toi qu’il est dans cet état.— Tu es vraiment fou ! Nous avons fait assez de bêtises hier, et si Yann descendait…— Il n’en perdrait pas la vue ! J’étais dans un état second. Malgré mes paroles, je mourais d’envie de tendre la main pour caresser ce sexe démesuré. J’ai cédé à mon envie, sous le regard trouble de Dominique. Mes doigts ont entouré la colonne énorme. Elle était chaude, douce et dure à la fois ; je sentais les petits frémissements de l’excitation sous la peau que je faisais coulisser lentement. Cette fois, j’ai pris tout mon temps moi aussi pour savourer ces sensations uniques. Hier, ma folie ne m’avait pas permis d’apprécier à leur juste valeur ces instants délicieux. Là, j’ai profité longuement du contact, de la vue de sa virilité. J’ai osé, de mon autre main, dégrafer ma robe pour lui offrir la vision totale de mes seins libérés, offerts dans l’attente du contact de ses mains puissantes. Plus je caressais cet engin hors du commun, plus mon excitation augmentait. J’ai approché mon visage. Devant moi, le gland gros comme une prune semblait me narguer de son petit œil duquel s’était ...
... échappé tant de sève hier. Du bout de la langue, j’ai lapé une petite goutte de rosée qui suintait. Je l’ai entouré tendrement de mes lèvres avant de l’emboucher, puis de m’immobiliser. Le gland dans ma bouche, j’ai serré la main très fort sur sa hampe. Je le sentais palpiter. Allait-il m’offrir ses longs jets de semence que j’attendais avec envie ? Non ! Il me repoussa par les épaules, se redressa pour me prendre dans ses bras. Abandonnée contre l’abondante fourrure de son poitrail, il en profita pour laisser ses mains courir sur mes hanches, mes fesses, soulevant ma robe pour caresser ma peau nue. Contre mon ventre, sa trique palpitait d’envie… Il reprit mes hanches, me fit me retourner, prendre appui sur le bord d’une étagère. Il se laissa tomber à genoux, releva ma robe. Ses lèvres commencèrent à me couvrir de petits baisers… Ses doigts couraient sur ma peau, m’arrachant de longs frissons. Passablement excitée, je me suis cambrée, écartant un peu les jambes pour m’offrir plus encore à ses attouchements. Sa langue virevoltait, descendant jusqu’au bord de mon minou pour remonter entre mes fesses qu’il écarta à deux mains. Débuta alors un horrible ballet sur ma rosette… qu’il abandonna pour se consacrer à mon sexe humide de désir contenu. Affolant et délicieux ! Il se servait aussi bien de ses mains, de sa langue que de son énorme mandrin ! Pour la seconde fois, il me le prouva en se redressant. L’extrémité de son glaive vint frôler les lèvres de mon sexe. J’étais mouillée de ...