1. Aveu


    Datte: 21/03/2020, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fdanus, fsodo, jouet, attache, yeuxbandés, fouetfesse,

    ... elle relâcha son attention. Cette fois, ses fesses furent la proie de l’attaque. — Tu crois ? Hum… peut-être oui, dit Gilles. Élodie rit mais Gilles souffla : — Tu as encore oublié de compter… Élodie secoua la tête. Il aimait vraiment cela. La punition se termina normalement et Élodie reçut le nombre annoncé sans supplément. — Merci, maître, dit-elle alors qu’elle avait l’impression que des chats s’étaient faits les griffes un peu partout sur elle. Il la caressa sur tout son corps, électrisant chaque parcelle de peau touchée par les lanières. Les frôlements doux étaient en même temps apaisants et douloureux. Il était tendre dans ses gestes mais n’évitait pas les parties rougies par le fouet. Élodie se tordait en tout sens selon les caresses mais ses mouvements, limités par les chaînes, n’empêchèrent pas Gilles de lui faire tout ce qui lui plut. Il posa alors sa main sur l’intimité de sa soumise et la fit jouir en lui branlant le clitoris et en la remplissant de ses doigts et cette fois, Élodie n’omit pas de le remercier. Puis, Élodie lui offrit sa bouche et lui donna ce qu’il attendait avec son brio habituel. Elle le remercia et Gilles la détacha, mettant fin à la séance. Ils se douchèrent ensemble, Gilles souriant de la voir sursauter au contact de l’eau chaude sur sa peau blessée. Il lui proposa de lui remettre lui-même ses boules de geisha et Élodie accepta avec joie. Ils se rendirent ensuite dans le salon. Élodie se mit à l’ordinateur pour écrire quelques mails pendant ...
    ... que Gilles lisait. Après une petite demi-heure, Gilles se tourna vers sa compagne et lança : — Tu sais, Élodie, je ne regrette pas que tu ne sois pas maso.— Je suis sûre que je te plais comme je suis, dit Élodie, mais je crois que tu serais plus comblé si je l’étais.— Et moi je n’en suis pas si certain, dit Gilles. J’aime beaucoup être avec toi. Élodie sourit puis se tourna vers l’écran, tournant ainsi le dos à Gilles qui lui, ne cessa de la fixer. Cette femme, il l’aimait, il en était certain. Cependant, il restait beaucoup de questions sans réponse, des questions auxquelles il allait falloir qu’elle réponde avant qu’il ne lui avoue ses sentiments. Tout en ne la lâchant pas des yeux, il se demanda une nouvelle fois ce qu’elle éprouvait pour lui. "Je suis sûre que je te plais comme je suis". Elle avait dit ça en parlant du maître, pas de l’homme. Tout comme, aux yeux d’Élodie, son "J’aime beaucoup être avec toi" pouvait ne s’appliquer qu’à la soumise. En fait, elle s’adressait aux deux et Gilles se demanda comment la jeune femme l’avait compris. Il ne pouvait tourner les yeux et Élodie finit par se rendre compte du regard insistant. Elle se retourna pour constater que Gilles n’avait pas bronché d’un cil. — Tu vas bien ? demanda-t-elle d’un ton inquiet.— Je n’ai plus le droit de te regarder ? répliqua-t-il.— Si, si, bien sûr, excuse-moi, dit-elle en se retournant avec un grand sourire ravi. Il se demanda un instant si… oui, il fallait qu’il le fasse. Il inscrivit cela dans sa ...
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