To be or not to be (7)
Datte: 24/09/2017,
Catégories:
Transexuels
Je passai de plus en plus de temps à la boutique. Insidieusement, Ghislaine œuvrait pour me laisser totalement autonome et me laissait carte blanche jusqu’aux commandes. Je proposai d’installer un rayon lingerie et mettre en avant les porte-jarretelles et serre-tailles qu’elle m’avait fait découvrir et adopter. Ghislaine ne s’y opposa pas, bien au contraire. On était mercredi. François était rentré de voyage et le couple m’avait proposé de rester diner. J’acceptai et, comme je l’avais pressenti, nous terminâmes au lit. — Tu veux bien revenir demain ? me demanda François. Ghis’ est de sortie et je ne veux pas rester seul. — Oui, pas de problème. Il m’invita au restaurant. Un restaurant chic où je dégustai une nouvelle fois des plats dignes de Top Chef. Etre riche avait quand même du bon. Nous rentrâmes pour aller directement dans la chambre conjugale. Je me lançai dans une fellation et tentai d’avaler son sexe dans son intégralité comme m’avait appris Ghislaine. Lorsqu’elle me montra pour la première fois, elle avala son sexe du premier coup. J’ouvris des yeux comme des soucoupes devant la performance. Je n’avais pas encore atteint son niveau mais François me félicitait à chaque fois. Il me fit l’amour toujours aussi tendrement et respectueusement. Si je n’avais pas d’orgasme intersidéral, je ressentais quand même un certain plaisir dans ses pénétrations anales. Je me surpris même à gémir comme une femme. Plus tard dans la soirée, nous entendîmes du bruit dans l’appartement ? ...
... Ghislaine rentrait de soirée et elle n’était pas seule. A ses rires déformés par l’abus d’alcool se mêlaient ceux d’une autre femme. Je savais le couple libertin et bisexuel mais je ressentis presque un peu de jalousie de savoir Ghislaine dans d’autres bras. Très vite, des gémissements sans équivoques traversèrent les murs depuis la chambre d’amis. Je me réveillai seul. François devant partir tôt. Je préparai le café, ce qui fit venir Ghislaine et sa conquête, toutes les deux dans le plus simple appareil. — Je te présente Eliane. Eliane, Chloé, mon employée à la boutique et aussi amante. Ou amant. Eliane écarquilla les yeux d’incompréhension. — Tu lui montres ? me demanda ma patronne J’écartai les pans de mon kimono, cadeau de Ghislaine, pour dévoiler ma vraie nature. — Ah ben merde alors, s’exclama Eliane. C’est la première fois que je croise une personne comme toi. Puis s’adressant à Ghislaine : — Et au lit ? — Elle est parfaite. Je servis le café à ces dames qui s’installèrent, toujours à poil sur les tabourets du comptoir qui séparait la cuisine du salon-salle à manger. — Eliane est une copine d’enfance, m’expliqua Ghislaine. On a fait les quatre cent coups ensemble. On sortait ensemble, draguait les mecs qu’on s’échangeait parfois. Et bien sûr, très vite, on a joué à touche pipi qui est devenu plus car affinité. Elle a été mon témoin à mon mariage et moi au sien. Et je suis aussi la marraine de sa fille Alexia. Voilà, tu sais tout. Eliane se doucha, avec sa copine cela ...