Infidélités
Datte: 24/09/2017,
Catégories:
fh,
cocus,
voisins,
vengeance,
jalousie,
Oral
69,
fsodo,
coprolalie,
... commande : — Ouvrir la bouche ! Docile, j’écarte mes lèvres, il plonge alors sa verge visqueuse dans ma bouche, il joue de sa bite avec ma langue, puis il ordonne : — Suce-moi jusqu’à ce que je jute ! Et en bonne pute que tu es, t’avaleras tout !— Hum-hum ! À nouveau, comme tout à l’heure, je m’occupe au mieux de sa bite qui durcit très vite sous ma langue agile. Peu après, il éjacule à gros flots, un sperme bien épais, visqueux. Obéissante, en bonne chienne que je suis, je bois, j’avale tout jusqu’à la dernière goutte. Puis je nettoie comme il se doit sa belle bite qui m’a donnée tant de plaisir ! Nous nous affalons sur le lit, vidés et repus, lui sur le ventre, la queue à l’air, et moi sur le ventre, les fesses bien en évidence, son sperme luisant au bord de mon petit trou du cul. Le calme après la tempête. Si c’est ma punition à chaque fois que je le trompe, je veux bien le tromper beaucoup plus souvent ! Enfin, pas tous les jours, car c’est épuisant ! Soudain, Sébastien se relève, me donnant une bonne claque sur les fesses : — C’est pas tout ça, mais faut que j’aille sauter la voisine ! Et à ma grande stupéfaction, ramassant ses habits, il quitte paisiblement la chambre. Puis quelques instants plus tard, la porte d’entrée claque. Il ne va quand même pas faire ce qu’il vient de dire ? Pourtant, je l’ai vidé, je lui ai asséché les coucougnettes, il ne doit plus y avoir dedans une seule goutte de sperme ! Comme hébétée, je reste figée, les minutes passent. Rien. Il ne ...
... revient pas. Sortant de ma torpeur, je me rhabille en vitesse, passant simplement une robe puis je me précipite dehors. Non, il n’est pas là en train de m’attendre. Sa voiture est garée sur le trottoir, donc il n’est pas parti avec. Sans trop chercher à comprendre, je vais voir cette fichue salope de voisine. Sa porte est entrouverte, je suis perplexe, j’hésite, puis je me décide. Je passe d’abord la tête : personne, aucun bruit. M’enhardissant, j’entre lentement dans le couloir, je ne sais pas si je dois dire quelque chose, pour m’annoncer… Soudain, une voix féminine retentit : — Vous auriez pu sonner ou toquer à la porte ! Je me retourne pour tomber nez à nez avec la voisine. Je bafouille : — Euh oui… Bonjour, Irina… oui, j’aurais dû… je… je cherche mon mari…— Vous cherchez votre mari, j’en suis fort aise. Elle se fiche de moi ! Néanmoins, c’est la première fois que je remarque que cette salope a un petit accent. Il faut dire que depuis que mon homme m’a trompée avec elle, je ne lui adresse plus la parole. Et avant, comme elle avait emménagé à côté depuis une semaine, mes relations avec elle ont été très limitées. Elle serait peut-être bien italienne, à l’image de ces anciennes actrices, ou un truc comme ça. Je ne sais pas quoi faire : je rentre chez moi ? Je cherche mon mari chez elle ? Je lui arrache les yeux ? Une voix masculine que je connais bien se fait alors entendre : — Je suis ici, ma chérie. Ne te l’avais-je pas dit ? Flegmatiquement, mon mari surgit du salon. Je ...