Infidélités
Datte: 24/09/2017,
Catégories:
fh,
cocus,
voisins,
vengeance,
jalousie,
Oral
69,
fsodo,
coprolalie,
... l’apostrophe : — Tu as dit, je te cite : il faut que j’aille sauter la voisine !— Oui, c’est vrai, et alors ? Et en plus, il confirme ! Et cette pute de voisine qui sourit ! Je continue : — Mais tu ne peux pas ! On s’est réconciliés, non ?— Nous avons baisé, nuance. Sur le côté, la voisine semble visiblement s’amuser de plus en plus. Oui, je lui arracherai les yeux plus tard, mais pour l’instant, c’est mon homme qui me préoccupe. Me raccrochant aux branches comme je peux, je lui propose : — Mais… je… écoute, mon chéri, on efface tout, on oublie tout, et on remet les pendules à l’heure, ça te va ?— Jusqu’à quand, Émilie ? Demain ? Après-demain ?— Non, non, je… je te promets que c’est fini de chez fini.— Tu es sans doute sincère, là maintenant, mais dès qu’il y aura une queue qui te passera sous le nez, tu voudras forcément y goûter. Je dois reconnaître que mon mari n’a pas tout à fait tort. J’essaye d’argumenter, je n’ai pas envie de le perdre, je n’ai pas envie qu’il se jette dans les bras de cette pute plus âgée que lui : — Si, tu peux me croire, je ferai des efforts… Un sourire navré aux lèvres, il s’approche de moi, tendant le bras. Je recule instinctivement. Sa main caresse délicatement ma joue : — Tu es ainsi. Depuis que nous sommes ensemble, je me suis toujours arrangé pour que tu sois comblée, mais visiblement, ce n’est pas assez.— Oui, c’est vrai, tu as toujours fait le nécessaire, je n’ai rien à te reprocher.— Je ne peux pas faire beaucoup plus, ma chérie. Et toi, tu ...
... ne pourras pas t’empêcher de folâtrer ailleurs. Je commence à paniquer un peu : — Non, non, reste avec moi !— Je te rassure, je n’ai pas prévu de te quitter…— Alors, qu’est-ce que tu fais là, chez… chez la voisine ? (j’ai failli dire autre chose, mais ce n’était pas très diplomatique).— Tu le sais très bien, puisque je te l’ai dit avant de partir. Tordant mes doigts entre eux, je secoue la tête : — Oui, bon, ça va, j’ai compris la leçon. Je ne veux pas que tu… que tu… enfin, tu comprends. Allez, reviens à la maison.— Et toi, tu comprends ce que ça fait que d’être trompé ? Je ne sais pas comment je vais faire pour m’en sortir. Je reconnais que j’ai la fesse légère, que mon mari me comble mais que j’aime aller voir ailleurs. De plus, cette pute de voisine est là, prête à l’accueillir dans ses bras. Je suis mal placée pour reprocher à mon légitime ce que je fais pour moi-même depuis un bon bout de temps. Bref, je suis mal barrée ! Je finis par lâcher un timide : — Oui, je comprends… Mais assurément, ça n’a pas convaincu mon mari. De plus, ondulante, la voisine s’approche dangereusement de mon homme. Si elle l’approche encore un peu plus, je lui saute dessus ! Sébastien prend la parole : — Je vais être clair et net, Émilie : je veux bien effacer l’ardoise, mais si tu écris quoi que ce soit dessus, alors dans ce cas, ce sera très simple : Irina deviendra ma maîtresse officielle, et je n’aurai aucun scrupule de m’afficher partout avec elle, y compris devant ta famille. Je déglutis ...