Les démons de Noémie (12) - Histoires de Sexe

Les démons de Noémie (12)

... s’allonger sur le dos, le bassin au bord. Elle écarta les jambes au maximum. Bernard s’agenouilla et enfonça sa main lubrifiée dans la chatte en feu de la philippine. Elle n’eut pas le temps de crier car Aziz avait remit sa queue dans sa bouche. Bernard la fista violemment puis enfonça sa bite et deux doigts dans l’orifice. Noémie avait les larmes aux yeux, mélange de douleur et de plaisir intenses. La situation humiliante, les insultes, les objets et les fists l’avaient totalement rendue folle. C’était bien plus puissant que les autres fois. Après quelques minutes, ils l’installèrent à genoux sur le tapis, l’entourèrent debout et se masturbèrent juste au dessus d’elle. Il lui demandèrent d’ouvrir la bouche et de sortir sa langue « comme la chienne qu’elle était ». Avec des grognements, des « ah » et des « ouf », ils l’inondèrent de foutre avec des jets chauds et puissants. Elle essayait d’avaler le maximum de foutre mais la quantité était énorme et le sperme coulait de sa bouche. Elle était recouverte de semence blanchâtre puante et gluante. « Oh putain, prends tout sur ta gueule, salope ! », dit Bernard, en giclant et avant de faire nettoyer sa queue par la jolie langue rose de Noémie. « Oh ouais ! », hurla Karl. Tous la couvrirent de sperme et d’injures. Denis était revenu et se faisait sucer, à côté de Sylvain. « Vous avez bien fait de tomber sur elle, patron ! Le hasard fait bien les choses... », fit ce dernier, tandis que la jeune femme léchait sa queue. « C’est ...

... Oli... », commença Denis, avant de s’apercevoir qu’il ne devait pas le dire. « Olivier ? Sans déconner ? Quel pervers ! », s’esclaffa Sylvain. Denis avait fait un faux pas. La complicité entre Aude et Olivier était maintenant flagrante. Noémie, qui retrouvait peu à peu ses esprits, avait bien enregistré ce détail. Il fallait qu’elle passe à l’offensive rapidement. Les deux types remplirent sa bouche de foutre. Elle dégoulinait de semence. Les ouvriers, vidés, se reposèrent avant de reprendre le travail. Noémie partit prendre une rapide douche dans les vestiaires. Quelques minutes plus tard, Denis la raccompagna au village. Sur la place, Noémie se remettait peu à peu de l’intense partie de baise. Elle ne comprenait pas pourquoi le « trouble » avait été aussi fort. Une évolution ? Prenait-elle de plus en plus de plaisir ? Mais pourquoi ? Elle avait identifié ses premières cibles : Olivier, Aude et Géraldi. Elle pensait de plus en plus que Géraldi était un opportuniste et non un complice, car, dans ce cas, Verdier l’aurait été lui aussi. Elle avait quand même la chance que beaucoup de ces hommes furent assez stupides pour lui donner de nombreux indices. Mais seule, elle ne pouvait agir comme elle voulait. Il lui fallait des alliés. André, Cassandre... Cette dernière avait des informations que la jeune asiatique devait récupérer. Elle avait demandé à André de se renseigner sur la société qui payait son compagnon. Elle eut soudain un flash, en repensant à l’usine : elle avait compris ...