1. Clitorice était vierge


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Première fois

    ... bitume confisqué aux autos, levant le nez à la ville et au soleil couchant. Elle me dit, tu vas être surpris tout à l’heure car je me suis fait débroussailler. Complètement totalement. Je suis dorénavant fine de fine comme gamine, abricot fendu de mes douze ans. Ce soir, chausse tes lorgnons pour trouver ma boulette et prends des notes pour bien repérer. Avant que ne repousse la jungle sombre et bouclée de mes intimités. Clitorice était coquine et quand nous avons été chez elle en haut de ses escaliers interminables de chambre de bonne, sous les toits de Paris, elle m’a mené à sa douche, minuscule et sombre, mais puissamment giclante de flux chaud et bouillonnant. Nous étions nus et ensavonnés. Ma main mes mains glissaient sur son pubis glabre et cherchaient en dessous du bombé charnu les profondeurs veloutées aux mille contours. Elle, avait saisi mon organe et le branlait voluptueusement comme une petite fille fait de son hochet, les yeux brillants et la moue conquérante. Je sentais d’évidence que, ce soir, Clitorice allait vivre conclusion amoureuse et charnelle à nos trois mois de marivaudage et de flirt, déclenchée par cette soirée poétique. Dans ma tête il y avait la découverte enfin de son organe de fille et les efforts que je voulais prodiguer pour contenter son bitmini et peut être la faire monter aux rideaux. Mais dans la sienne il y avait la défloraison irrémédiable du cœur de sa chair, comme offrande ultime. Et moi je ne le savais pas encore. Après la douche, ...
    ... alors que j’étais à genoux sur la carpette le nez entre ses cuisses, elle a éteint la lumière à la poire de la lampe de chevet. Elle a dit, tu dois parvenir à tes fins rien qu’au toucher maintenant que la jungle de mes cuisses est dégagée. Et puis cela me gène que tu mates ma fente et les villosités sombres qui s’en échappent toutes trempées de mon intérêt pour toi. Moi, je me régalais du lisse de son pubis gonflé de deux lèvres charnues et odorantes. Elle avait ouvert les cuisses pour s’offrir à ma caresse. Au creux d’elle il y avait sa fleur, papillon aux deux ailes déployées, ouverte à ma langue. Je connaissais la caverne, l’antre des circonvolutions mouillées et gluantes. Mais je cherchais le joyau tant décrit dans la littérature poétique. Celui dont on lui avait donné nom de baptême et que, moi l’amoureux trop transi, n’avais su dénicher la minuscule existence, dans ma trouble cécité de jeune amoureux. Ma langue d’œnologue rompue aux saveurs aux goûts aux textures a rapidement dégoté le petit champignon de ses délices, guidé par ses gémissements de jouissance, tout en haut du papillon, comme phare de ses chairs déployées. Je l’ai gobé de mes lèvres en cul de poule aspirant son nez frémissant tout en repoussant ses peaux comme prépuce de garçon. De deux pouces des deux mains je pressais en descendant ses parenthèses, prolongements, encadrant sa fente, de la source de ses plaisirs. Son intimité tenait à la fois de la jeune fille prépubère, abricot gonflé mûr clair juteux ...