Comment j'ai eu Martine pour moi - Histoires de Sexe

Comment j'ai eu Martine pour moi

... dire, maintenant que tu es seule.— Eh bien pas trop mal. C’est vraiment un poids en moins, mais entretenir une vie seule, c’est fatiguant. Je voyais arriver la scène de réconfort, et je l’évitai à tout prix. — Bon ben, dès que tu te sens d’attaque, tu passes à la gym. Moi j’y suis tout les soirs de dix-neuf à vingt-et-une heures. Après un bref moment de réflexion, elle me répondit : — Tu as sûrement raison. Allez, je vais prendre ma douche et on y va maintenant si tu peux.— Excellent, c’est comme ça qu’on doit apprécier la vie, avec du punch ! Elle alla se doucher. Son changement soudain d’humeur m’avait quelque peu étonné. Elle jouait sûrement la comédie, pour qu’on s’occupe d’elle. Typique. Pendant qu’elle se douchait, j’allai dans sa chambre, je trouvai dans sa commode (entre deux culottes en soie) le fameux vibromasseur. Je le reniflai, mais aucune odeur suspecte n’en émanait. Je le dévissai pour voir les piles. Un sourire se dessina sur mon visage. Elle avait changé les piles. Les piles que j’avais mises étaient presque usagées, cela prouvait que Martine avait fait usage du jouet plus d’une fois. Je replaçai soigneusement le jouet comme je l’avais trouvé, et je retournai dans le salon pour m’abandonner à la télévision. Pour un samedi matin, la salle n’était pas trop chargée. Je ne m’y connaissais pas trop en musculation des jambes ; j’aurais plutôt préconisé la piscine et le running, mais pour ma tante, je pouvais bien m’adapter. Je lui avais demandé de s’échauffer ...

... seule pendant que je feuilletais un des livres mis à disposition dans la salle de gym. Je lui demandai de faire divers exercices, en n’hésitant pas à rectifier ses mouvements. — Non, là tu creuses trop le dos. Je déposai une main sur son ventre, l’autre sur le haut de sa croupe, et je lui redressai le dos fermement, en pressant bien sur son corps. — Merci, tu es un bon coach, dis.— J’ai l’habitude de donner des conseils aux gens ici. Ce qui était complètement faux. Après l’avoir bien fait suer, je lui proposai un massage. — Normalement, avant la douche on se fait faire un massage. Les gens du club ont à leur disposition des vrais masseurs, mais toi…— J’aurais pas dit non à un petit massage, c’est vrai, mais je pense pouvoir m’en passer.— Ou alors je te fais le massage ?— Tu sais aussi faire les massages ?— Pas vraiment, non, ajoutai-je en me grattant la tête. Mais à force de me faire masser, je sais à peu près comment m’y prendre.— D’accord, mais faut pas se mettre à poil, quand même, si ?— Non non, ne t’inquiète pas. Ton t-shirt et ton minishort ne sont pas trop encombrants. Tu peux les garder.— Dans ce cas-là, je vais pas dire non ! J’étais un peu déçu pour les vêtements, mais bon, je pourrais la masser, voir un peu plus si c’était possible. Je l’emmenai dans les blocs des adhérents, et lui demandai de s’allonger sur le ventre. Je lui tournai le dos un instant pour me redresser le sexe, qu’une érection ne viennent pas me trahir. Je me huilai les mains et je commençai à lui ...