1. Comment j'ai eu Martine pour moi


    Datte: 25/09/2017, Catégories: fh, fplusag, oncletante, hotel, telnet, cérébral, Masturbation massage, jeu, amourcach,

    ... événements. J’avais prévu de prendre plus de temps, mais le massage de la veille m’avait mis hors de moi, et je ne pouvais plus attendre. Je me créai une adresse mail fictive et j’envoyai un email à Martine. Il y avait de quoi l’intriguer dans ce message. Je voulais la rassurer pour qu’elle comprenne bien que j’étais de son entourage, et non le premier fou sorti du coin de la rue. C’est cependant ce que je crus devenir, à attendre toute la journée une réponse. Finalement vers vingt heures, je recevais un email d’une certaine Éloïse. Les messages se multiplièrent. Martine cherchait toujours plus d’informations sur moi. Je lui en donnais parfois, commej’aime ton joli string noir, ouje t’ai aperçue à une séance de gym. Elle ne faisait pas encore la connexion, mais je pense que c’était pour le mieux. Elle avait sûrement pensé à moi, mais cela devait lui paraître tout à fait absurde. J’estimais que deux semaines d’échanges virtuels suffiraient à la mettre en confiance, et je décidai de conclure cette phase d’anonymat. J’avais choisi l’hôtel à côté d’un commissariat de police, qui était à deux pas de son lieu de travail. Si cela ne la mettait pas en confiance, je ne saurais plus quoi inventer. Elle devait accepter, et je dédiais ainsi toutes mes masturbations de la journée à la réussite du plan. Quelle salope ! Son email m’avait bouleversé. J’avais décidé d’aller prendre une douche et de me masturber pour me calmer. J’avais mis l’eau chaude cette fois-ci… Elle approcha sa bouche ...
    ... de mon gland… ethop. Je me réveillai tout fébrile car l’eau de la douche était devenue froide. Encore ce cumulus qui déraille. Deux jours plus tard, je me retrouvai dans cette chambre d’hôtel. Il était 19 h 30 quand j’éteignis les lumières et fermai les rideaux, pour que je puisse apprivoiser le noir, et ne pas me ridiculiser en me cognant sur chaque mur en présence de Martine. J’étais à la fois excité et stressé. J’espérais que la soirée se passerait bien, voire même qu’il y ait une suite. Car une fois qu’elle saurait que son neveu se trouvait à vouloir lui brouter le minou, elle pourrait très bien faire marche arrière. oooOOOooo À 20 heures précises, j’ouvris la porte de la chambre 33. Comme me l’avait dit Jack, toutes les lumières étaient éteintes. Je rentrai et refermai la porte. À peine le noir se fut-il installé qu’on vint me saisir la main. — C’est toi, Jack ? Je n’eus comme réponse qu’un bruit venant de sa gorge. Si ça avait été une autre personne, j’aurais eu une vraie réponse. C’était bien Jack. Je commençai à distinguer les formes de la pièce. Jack m’amena et me fit asseoir sur ce qui semblait être un lit. Je sentis ses lèvres déposer un baiser sur mon cou. — J’ai amené ton jouet, et d’autres que j’ai achetés. Je les pose là. J’eus comme réponse des bruits de vêtements. Je palpai son corps pour m’apercevoir qu’il avait ôté sa chemise. Son buste était musclé. Je n’étais pas du genre à me laisser faire dans un lit comme une poupée. Je venais de défaire son bouton, et ...