Comment j'ai eu Martine pour moi - Histoires de Sexe

Comment j'ai eu Martine pour moi

... masser les mollets. Je remontai doucement aux cuisses. Mes gestes étaient très professionnels et ne laissaient rien paraître des mes désirs envers Martine. — Ça fait un bail que l’on ne m’a pas massé. En plus, tu fais ça tellement bien.— Merci. Tu es la première à qui je fais un massage, alors ça me fait plaisir, des compliments. Je continuai mon massage, et j’arrivai à hauteur de ses fesses. Masser à travers le minishort était complètement absurde, car je n’avais pas assez de force dans les doigts. — Ça serait plus pratique si tu enlevais le short.— Euh, tu es sûr que tu peux pas faire avec ?— Difficilement, et de toute façon je t’ai déjà vue à la piscine.— Je porte pas de string à la piscine, ajouta-t-elle avec un rire embarrassé.— Ah oui, je vois. On n’a qu’à mettre une serviette par-dessus, alors. Je glisserai mes mains dessous.— OK. Elle se leva et baissa son short en me tournant le dos. Elle n’avait pas menti pour le string. Je m’approchai d’elle pour lui chuchoter à l’oreille : — Il te va à ravir, ton petit string noir.— Merci, mais il me serre un peu, tu sais. Je baissai mon pantalon, mon sexe raide pendait à l’entrée de sa chatte. Je pris un peu de recul, avançai brusquement pour la fourrer, et…hop, je revenais à la réalité. Si seulement c’était si facile… — Bon voilà. Mais même avec une serviette sur moi ça fait bizarre que tu…— Que je ?— Eh bien… que toi, tu me masses les fesses.— Je ne vois pas pourquoi, ajoutai-je d’un air naïf.— Ben si, quand même. Tu es ...

... mon neveu, et tu ne devrais pas faire ça.— Si c’est un problème, j’arrête, mais dis-toi plutôt que je suis un apprenti-masseur. Elle ricana. Mon massage n’était plus en péril. — C’est vrai que vu comme ça, on peut continuer. Elle reposa sa tête sur la table et ferma les yeux. Je la massai doucement mais avec insistance. Je faisais surtout pression avec les pouces, mais mes doigts se baladaient sur toute la surface de ses fesses. J’avais une belle érection lorsqu’au bout de cinq minutes, Martine ouvrit les yeux. — Dites, Monsieur l’apprenti-masseur, vous ne vous attardez pas un peu trop de ce côté-là ?— Du tout. Vous avez beaucoup de muscles ici, et je ne dois pas les négliger. Rien de tel qu’un petit jeu pour échauffer les esprits. — Et quels sont leurs noms ?— Eh bien, ici vous avez les muscles petit, moyen et grand fessiers, puis en-dessous le muscle piriforme.— C’est tout ?— Non évidemment, mais les autres seraient indécents à situer.— Je vois. Le silence s’installa. Je déteste les silences, car ils sont difficile à gérer. — Bon je crois que ça suffira pour aujourd’hui, Martine.— Oui je crois. On remet ça mardi ?— C’est comme tu veux : je suis libre tous les soirs, moi. Mais je ne pourrais pas m’occuper de toi comme aujourd’hui, j’ai mes exercices à faire moi aussi.— Oui, bon on verra ça le moment venu, hein. Et elle s’en alla sous la douche. De mon côté, j’avais mis que l’eau froide, et je me branlai vigoureusement en silence. Le jours suivants, j’élaborai la suite des ...