1. Médecine parallèle


    Datte: 23/03/2020, Catégories: fh, médical, revede, massage, Oral pénétratio, h+medical,

    ... lèvres sont entrouvertes, ses yeux mi-clos. Elle semble être à l’origine des ondulations que je ressens. Tout autour d’elle, je perçois des corps de femmes entremêlés, les jambes écartées, la croupe relevée, tous ces corps sont entrepris par un homme. C’est le même homme dupliqué. Il s’affaire sur chacun de ces corps offerts. Il me ressemble. Mon esprit ne répond plus. Le rythme des ondulations semble s’accélérer. Je ne maîtrise plus rien. Je bous intérieurement. Mon cœur ne cesse de cogner contre ma poitrine. J’ai l’impression qu’elle va exploser. Je n’arrive pas à bouger. J’ai l’impression que tout s’emballe. Je crois distinguer des halètements rythmés par ces ondulations. Ils sont de plus en plus forts, et ils s’accélèrent. Tout s’emballe. Les motifs se déplacent. Les bites sortent des vagins en feu. La semence éclabousse toutes les mains tendues. Je sens venir un orgasme. Non que dis-je, un tsunami. J’essaye de me contenir. Mon sang est en ébullition. Et d’un coup, j’ai l’impression d’exploser. Mon esprit se volatilise dans tous les sens. J’ai l’impression de tomber dans un puits sans fond. Je sursaute. J’ouvre les yeux. Je suis allongé sur le dos, toujours sur la table d’auscultation. Il n’y a personne sur moi. Il n’y a aucun motif évoquant une quelconque orgie à l’horizon. Mon boxer est bien en place. Pourtant, mon ...
    ... cœur bat à tout rompre et je me sens épuisé. Dominique n’est plus près de moi. Elle est assise à son bureau en train de taper sur son ordinateur. — Bon retour parmi nous, Monsieur Jamet. Malheur ! Je me suis endormi. Je n’ai encore pas réussi à me contrôler. Pourtant, tout cela avait l’air tellement vrai, tellement enivrant que j’ai encore du mal à croire que ce n’était qu’un rêve. Il arrive parfois que certains rêves soient si proches de la réalité qu’on a du mal à faire la distinction. Je n’arrive pas à croire que je peux avoir des rêves si intenses et surtout en rapport avec ce que je suis venu faire. C’est une incroyable manipulatrice. Je suis complètement abasourdi. J’ai du mal à suivre ce qu’elle me dit. Mais je comprends qu’il est temps pour moi de partir. Elle m’accompagne jusqu’à l’entrée de son bureau. — Je vous souhaite une bonne soirée, Monsieur Jamet. Je lui serre la main qu’elle me tend. Elle est brûlante. Du coin de l’œil, il me semble apercevoir un bout de tissu par terre derrière la table d’auscultation. Mon regard se porte dessus. C’est le maillot moulant qu’elle porte habituellement sous sa blouse. Comme sous le coup d’un électrochoc, mon cœur fait un bond : je constate qu’aucun tee-shirt ne dépasse de son décolleté. — Au revoir. J’espère vous revoir bientôt, me dit-elle en me lançant un clin d’œil complice. 
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