1. Médecine parallèle


    Datte: 23/03/2020, Catégories: fh, médical, revede, massage, Oral pénétratio, h+medical,

    ... sur mes épaules. — Détendez-vous complètement et laissez-vous aller en arrière. Ne vous inquiétez pas, je ne vous laisse pas tomber. Il est loin le temps où je m’inquiétais des séances d’ostéopathie. Je me détends et me laisse aller en arrière. Je sens ses bras passer sous mes aisselles puis ses mains se posent sur ma nuque. Elle m’attire contre elle. Mon sang ne fait qu’un tour quand je sens ses seins se coller contre mon dos. Mon cœur s’affole. Je réalise soudain que je n’avais pas encore remarqué sa poitrine cachée sous sa blouse blanche informe. — Relâchez-vous. Laissez-vous aller. Imperceptiblement, je me suis contracté au contact de ses lourds attributs, de peur qu’il ne soit pas voulu. Mais ses bras me tirent vers elle, accentuant encore un peu plus cette promiscuité. Mon cœur est agité. J’ai l’impression que mon sang est en train de bouillir et que ma température monte en flèche. Elle réussit enfin à atteindre un petit craquement. Et elle me redresse. Non ! Je ne veux pas qu’elle s’éloigne. Je voudrais rester dans ses bras. Je ressens comme un vide. Elle me fait allonger sur la table, prend ma main droite et la place sous mon épaule gauche puis fait de même avec ma main gauche sous l’épaule droite. Elle se place au-dessus de moi, légèrement sur ma gauche, passe une main derrière mon épaule droite et l’autre derrière ma tête qu’elle attire vers elle. — Relâchez-vous complètement. Sur ces mots, elle bloque ma tête contre ses seins que je sens à travers ses vêtements. ...
    ... Elle ne porte pas de soutien-gorge ! Elle est habillée sous sa blouse d’un maillot moulant qui plaque ses seins contre elle pour que cela la gêne le moins possible pendant ses auscultations. Il est vrai qu’avec sa blouse, rien ne laissait augurer une poitrine aussi généreuse. Certes, elle ne semble pas avoir un bonnet énorme mais tous les contacts que j’ai pu avoir avec ses seins me laissent une impression agréable, je les imagine dans mes mains d’une douceur extrême, au regard de celle de ses mains. — Vous êtes trop crispé. Détendez-vous. À mon signal, bloquez votre respiration. Mon nez littéralement planté dans son sein, je me délecte de son odeur. Je suis pris par surprise. J’ai à peine le temps de bloquer ma respiration qu’elle m’écrase de tout son poids jusqu’aux craquements de quelques vertèbres. Peu importe, je suis aux anges, la tête sur son sein. Elle me relâche. Je me découvre une frilosité nasale. Mon nez veut retrouver son fourreau. Elle fait le tour de la table et réitère la même opération de l’autre côté. Cette fois, je goutte à son sein gauche. Mon dieu, que c’est bon… Mais déjà, elle me relâche et je me retrouve à nouveau allongé sur le dos. Mon corps brûle. Ses mains doivent sentir ce changement de température interne. J’ai l’impression d’être parcouru d’un frisson glacial chaque fois que je perds son contact. Je l’entends s’installer sur un tabouret derrière ma tête. Elle ne dit plus rien. Ses doigts me palpent le crâne. Je me sens partir. Je tente de résister ...
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