1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (4)


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Ouf ! C’était bien cela. J’étais en train de baiser tante Lucie, ou plutôt, elle était fichée sur ma queue et c’est son fils qui donnait les impulsions en lui ramonant à fond la boîte à bonheur. Prise en sandwich entre nous, elle gémissait de plaisir en serrant son fils dans ses bras du plus fort qu’elle pouvait. Lui continuait de proférer mille ordures sur la femme qu’il baisait, mille dégueulasseries sur sa mère : "T’es une bonne grosse pute. T’adore avoir deux bonnes queues à te démonter chiennasse, avaleuse de bites... tu sens bien comme je te prends, ouais, c’est bon ça hein salope, aller vas-y plus fort les ongles dans le dos.... plante-les dans mon cul, laboure-moi, excite-moi cochonne..." Mais qui l’écoutait à part moi qui n’en revenais toujours pas ? Sur le canapé, avec la même ardeur, ma mère se faisait défoncer dans une scénario identique. La tête renversée de Lucie, contre ma joue, m’empêchait de voir ce qui se passait mais les sons me parvenaient dans toute leur crudité orgiaque, les cris courts, plaintifs et répétitifs de la femelle déchirées, les bruits des chairs qui claquent, les mots pornographiques des baiseurs. La voix tonitruante de Grégoire retentit : - Il est mûr maintenant ! Changez les filles. Ce fut fait en un rien de temps et ma mère se mit sur mon sexe comme tante Lucie s’y était posée et prit soins de bien l’enfoncer sans aucune hésitation. Mais, lorsqu’elle saisit ma bite et commença à glisser dessus, j’éclatai en sanglots. - Non... non maman ...
    ... arrête, non fais pas ça, c’est immoral, arrête, je t’en prie arrête. - Mais tu l’as déjà eu sur ta queue ta mère mon grand, faut que tu réalises... et t’avais même l’air de sacrément aimer ça tout de suite ! Mais là, c’était différent, le voir, en être sûr à 100 %... je me mis à débander en pleurant comme un bébé. - A merde, il nous fait une rechute. Amène la bouteille.... Bois petit, ça va te réconforter. On me tendit la bouteille de whisky que je pris sans réfléchir, anéanti, et je bus plusieurs rasades à même le goulot. - Lucie, remets lui la queue droite. Elle obtempéra en s’agenouillant devant moi et me suça avec expertise. Au bout de quelques minutes, l’alcool aidant à me faire perdre encore un peu plu pied dans la réalité, ma queue avait retrouvé de sa superbe. Je laissai faire. Quand maman reprit sa place sur ma pine, je ne protestai même pas. Ma libido tint le coup, ma verge resta dure et droite dans le trou du cul. Mon frère pénétra la chatte. Bertrand dit à sa femme : - Tu vois, c’est pas mal d’avoir deux fils... un dans chaque trou... On aurait du faire un petit frère a Maxime - Qu’importe puisque tu as de bons amis ! Répondit-elle. Mon père nous encourageait : - Bravo les garçons, vous êtes de vrais hommes, de vrai mâles comme papa, de bons gros queutards. On passera des soirées plus intéressantes que nos parties de UNO ! On décida ensuite de mettre les deux femmes agenouillées côte à côte sur le canapé pour les baiser en tournante. Mais quand ce fut mon tour de ...
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