1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (4)


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pénétrer ma mère, je ne pus pas. Voir son cul dresser, ses belles épaules, ses cheveux en désordre et le balancement obscène qu’elle donnait à son cul pour aguicher le mâle en rut, cela, de nouveau, me donna la gerbe. On essaya bien de me forcer alors, j’acceptai de baiser tante Lucie dans le trou de laquelle je finis par éjaculer sous les applaudissements généraux. Dès que j’eus terminé, je m’écartai, submergé par le dégout pendant que les autres biteurs continuaient de troncher à qui mieux mieux. Désespéré par ce qu j’avais fait, je repris la bouteille de whisky et me saoulai. Ma tête était lourde au réveil le lendemain matin. J’étais nu sur le tapis, Maxime, nu aussi, les pils de la bite et du pubis couverts de boulettes de sperme séché, ronflait dans un fauteuil. Je pris du paracétamol avant d’ aller me coucher. En passant devant la chambre de mes parents, je vis ma mère nue sur le lit. Le nain et Bertrand étaient couchés à côté d’elle. Tout le monde dormait. Plus loin, Lucie était dans le lit d’Alban avec mon père et mon frère. A partir de cette soirée, comme j’étais affranchi, ils ne se cachèrent plus. Tous les vendredis désormais, c’était partouze, soi chez nous soi chez Bertrand et Lucie. J’évitais soigneusement d’y participer. On me pressa bien de me joindre mais je leur parlai à peine, j’avais juste envie de me casser de cette maison devenue un baisodrome. Le matin il m’arrivait parfois, en descendant au petit déjeuner, de voir mon frangin (qui vivait à poil la ...
    ... plupart du temps maintenant et se tripotait fréquemment et négligemment la bite et les burnes) appuyé contre la table de la cuisine et ma mère à genoux devant suçant la grosse pine rapidement. Je le vis une fois juter dans le café de ma mère et elle avala, je cite "ce breuvage réconfortant". Je devais désormais fermer la salle de bain à clef pour éviter que ma mère me mette la main au paquet en m’incitant à la sauter. Elle ouvrait son déshabillé pour me montrer ses charmes auxquels j’aurais volontiers succombé, il faut l’admettre si je n’avais été son fils. Je dus insister pour qu’elle cesse de me harceler. Plus d’une fois, pendant mon sommeil, elle vint me sucer. Je la repoussai vivement à chaque fois. Je regrettai d’avoir perdu la clef de ma chambre quand j’étais gamin et de ne plus pouvoir m’isoler. J’évitais même les déjeuners ou diners familiaux, d’abord parce que je n’avais plus rien à leur dire, ensuite parce lors d’un repas où on avait servi des asperges, à dessein je le suppose, la conversation avait dévié et aussi sec, les deux obsédés l’avaient prise sur le coin de la table. Ils pensaient qu’excité par le spectacle qui, normalement aurait dû faire bander un mort, je finirais par craquer. Et que dire de l’anniversaire de ma mère, fêté en grande "pompe", avec tous les partouzeurs officiels sucés en ligne après le déballage des cadeaux qui laissait penser qu’on avait dû, pour les réunir, braquer un sex-shop. On avait bien essayé de me joindre à l’orgie, mais je m’étais ...