1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (4)


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... écartées sous mon frère... je portai la main à mon sexe. Il y avait longtemps. même me masturber me semblait sale depuis ce que j’avais fait, alors qu’avant je ne comptais même pas les paquets de kleenex que j’utilisais régulièrement ! Tout à coup la porte s’ouvrit. Nu, la queue bien en l’air, mon frère me dit : - Tu viens, elle veut une deuxième bite ? - Casse-toi, baise-là seul ta grognasse... et faites moins de bruit ! J’avoue quand même que je me serais bien laisser tenter mais l’idée de sauter sa copine me faisait craindre ce qui arriverait si, un jour, j’amenais la mienne dans ce repère de désaxés et puis je ne voulais pas, même un peu, entrer dans leur jeu. - Bon tant pis, je vais demander à papa... tu sais pas ce que tu perds. Un vachement bon coup. Bonne sous l’homme... Les bruits reprirent vite et les commentaires qui me parvenaient confusément me confirmèrent que mon père, comme je l’avais imaginé, ne s’était pas fait prier. Puis, les cris redoublèrent, ceux de ma mère devant se joindre à ceux de la fille. Par ailleurs, quelques jours plus tard, à la piscine, je croisais tante Lucie. Je tentai de l’éviter mais elle se colla à moi à m’en faire honte et, pour éviter le ...
    ... scandale qu’elle se proposait de faire, je me résolus à la rejoindre dans une cabine où je lui fis rapidement l’amour sans capote et sans conviction. Tout cela ne fit que me conforter. Mon départ était acquis et on décida d’organiser une petite fiesta pour mon marquer le coup. Je refusai d’abord mais comme mes parents tenaient encore les cordons de la bourse, je ne pus pas faire autrement que d’y consentir (je conviens que cette attitude peut paraître un peu vénale, mais avais-je le choix ? Et au point où nous en étions de la moralité dans cette famille...). Bien sûr j’étais décidé à ne pas baisser mon froc, à faire le minimum syndical et à foutre le camp dès que les gens commenceraient à s’enfiler. Je devinais bien qu’il y avait traquenard, anguille sous roche, piège, bref qu’on ferait tout pour m’inciter une dernière fois à entrer dans la danse, mais sauf à me forcer, ce qu’ils n’avaient pas chercher à faire auparavant, je ne voyais pas comment ils pouvaient m’y contraindre. Eux non plus sans doute. Tout juste espéraient-ils une ultime fois que, sollicité par tout le monde, je reviendrai en arrière. Personne ne pouvait prévoir ce qui devait finalement se passer. nkenld A suivre. 
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