1. Petit traité d'ethnologie amateur


    Datte: 25/09/2017, Catégories: médical, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, nonéro, portrait,

    ... sauter… Chez ce garçon d’une vingtaine d’années, assez peu taillé pour la boxe semblait-il à la profane que je suis, un silence du même acabit que la famille dont je viens de raconter les mœurs particulières. Un grognement en guise de bonjour et c’était tout. La séance de soins de sa maman se passe sans problème et je reviens deux ou trois jours plus tard. Le même bonhomme vient m’ouvrir. Même grognement. Quand je passe dans la salle de sport, je ne peux que remarquer un compagnon, en tenue plus que légère. Il tapait en effet avec ses gants de boxe sur le punching ball. Mais à part ses gants, il ne portait rien. Tout nu, monsieur le boxeur. Je le salue. Il me répond par un même grognement. La séance de soins avec la maman se passe. Quand je ressors de la chambre, le fils s’est « habillé » dans la même tenue de combat. Je dis au revoir à la maman et feint de m’intéresser aux sportifs. Leurs coucougnettes et zobs balancent au rythme des coups qu’ils assènent sur les sacs. Je m’en amuse discrètement… Puis les quitte. Séance suivante, le fils vient m’ouvrir en gants et, bien entendu, rien d’autre. C’est un autre copain sportif qui s’entraîne avec lui, dans la tenue règlementaire, ponctuée d’une érection de belle taille… Et c’est ainsi pendant plusieurs semaines. Je viens soigner la maman, suis accueillie par les grognements de boxeurs tout nus, deux à chaque fois. L’ami n’est pas le même d’une séance à l’autre. Même si certains seront présents plus d’une fois, ce ne sera jamais ...
    ... le même lors de deux séances successives. Petit à petit, je m’incruste après ma séance de soins. Je les regarde, admire leurs jeux de jambes, les coups qu’ils portent. Ce sont de vrais sportifs, solides et entraînés. Comme j’en ai pris l’habitude dans toutes les situations du genre, je décide bien entendu de garder la main… Et je choisis de leur parler de leurs amis sportifs absents. Mais en utilisant pour les décrire la particularité anatomique qu’ils ont manifestement souhaité me présenter, pour aborder finalement tout à fait autre chose. — L’autre fois, il y avait un de vos copains, tu sais, celui avec son zizi roux, et bien, j’ai cru qu’il allait faire exploser le sac de sable tellement il frappait fort… Ou : — Tu vois de qui je veux parler, le blanc avec sa bite de black, je crois que j’ai jamais vu un mec sauter aussi longtemps à la corde… Ou encore : — Tu sais, celui qui en a un petit gros circoncis, il me paraissait un petit peu fatigué la dernière fois… Mais aussi : — Il y en a un, celui qui bande à chaque fois, je trouve qu’il ne frappe qu’avec un seul poing… Ou : — Celui qui a une quéquette qui ressemble à la tienne, c’est à la boxe qu’il s’est cassé des dents comme ça ? Et je m’amusais à parler avec eux de boxe, mais toujours en faisant référence à leurs biroutes. Ils étaient contents que je les regarde. Tout autant parce qu’ils se baladaient à poil devant moi, que parce que je m’intéressais à leur sport. Mais je sentais bien que ça les dérangeait malgré tout que ...
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