Petit traité d'ethnologie amateur
Datte: 25/09/2017,
Catégories:
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
nonéro,
portrait,
... Pauv’mec ! Mais l’histoire n’est pas finie… Le monsieur téléphone au service. Justement je suis là. Il m’explique que le médecin a conseillé que la désinfection suite au traitement soit réalisée par un professionnel, qui pourra surveiller l’évolution. Nous prenons donc rendez-vous à une date qu’il me propose et qui me convient. Je me rends donc à son domicile. Il m’ouvre la porte en short et torse nu. Il fait effectivement bien chaud et se mettre à l’aise est une idée tout à fait raisonnable. Je l’accompagne au salon, puis lui lance… — Et bien, on va voir ça… Ni une, ni deux, le monsieur ôte son short et l’envoie valdinguer avec son pied dans le fauteuil trois mètres plus loin. Le lecteur a déjà compris qu’il n’avait rien enfilé sous son short. Et voilà mon pudique de la semaine passée, tout nu en face de moi. Je souris. Et puis m’occupe de ma tâche professionnelle. Le médecin a bien fait ça, ou ce sont les médicaments qui font déjà leur effet, mais tout me semble aller pour un mieux. Je propose à monsieur de repasser quelques jours plus tard. Il semble contrarié par le rendez-vous que je lui propose, mais je ne peux lui proposer autre chose, j’ai l’agenda bien rempli. C’est madame qui vient m’ouvrir. Il fait toujours aussi chaud, mais monsieur est aujourd’hui bien habillé. Quand je propose de l’examiner, sous l’œil inquisiteur de sa femme, il dégrafe son pantalon, et le descend juste le nécessaire. Un excès de pudeur semble l’avoir repris. Je devine que ce doit être madame ...
... qui en est la cause. Mais je me tais. Un dernier soin est prévu surtout pour être bien rassuré. Et monsieur m’ouvre tout nu ! — Je suppose que madame n’est pas là ? questionnai-je à cette vue. Et lui, faussement naïf : — Non, mais comment vous savez ça ? Je le remballe aussi sec : — Mais parce que tu te promènes le kiki à l’air ! Il bredouille, tente de m’expliquer qu’il n’a pas pris le temps de s’habiller, et comme pour le soin c’est plus simple comme ça… bref des arguments très convaincants ! Je ne me formalise pas, mais décide de le pousser un peu plus loin… — C’est parce que votre femme n’est pas là que vous vous promenez à poil… Si elle était là, vous joueriez monsieur la pudeur. Il proteste. Je porte l’estocade : — Je reviens encore une fois, et cette fois elle sera là hein ! Et vous venez m’ouvrir à poil ! Chiche ?— Mais il n’y a pas de problème ! bougonne-t-il. Et de rajouter : — Vous êtes quand même une véritable obsédée ! Je réplique vertement : — Non, mais ça va pas, le pervers… Je vais pas ouvrir aux messieurs le cul et les choses à l’air moi ! Il admet. Quand je pars, il me certifie que le samedi qui vient, sa femme sera là. Comme je dois passer dans le quartier, j’en profiterai pour venir admirer une fois son petit zoziau (qui, j’ai omis de le préciser, pratique assidûment une gymnastique assez monotone : debout-fléchi, à nouveau debout, puis fléchi…) Le samedi, je sonne, une demi-heure en retard par rapport à l’horaire annoncé. J’entends que ça s’énerve derrière ...