Petit traité d'ethnologie amateur
Datte: 25/09/2017,
Catégories:
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
nonéro,
portrait,
... appartement les fesses à l’air. Elle est étonnée, mais moins que Jessica qui hurle en les voyant rentrer dans sa chambre, terrorisée qu’elle est. Elle se cache comme elle peut derrière sa planche en bois. Puis elle reconnaît les copines et les copains. Et elle éclate de rire, elle saute dans sa chambre. Puis dans les bras de chacun. Les biroutes des mecs ne se tiennent plus et se dressent fièrement. Rendant les gars un peu moins fiers encore. Et on sort les biscuits, les chips, les bouteilles. Les jeunes boivent, mangent… et comparent les anatomies, tout cela dans un esprit étonnamment bon enfant. La maman est heureuse, mais n’en revient pas du culot de ces jeunes. J’ai fini mon boulot, mais je reste. La soirée se passe. Il est temps de partir. Embrassades. On promet de revenir. Dans la même tenue. Et c’est comme ça que ça se passe les deux mois qui suivent. Les visites sont possibles. Vient qui veut, quand il veut, mais à poil. Jusqu’à ce que Jessica décide que ce n’est plus nécessaire de se déshabiller. Mais les potes préfèrent et continuent leurs visites dans le plus simple appareil. Et puis, Alléluia ! Un médecin trouve le médicament miracle. On raconte que c’est par hasard. On ne sait toujours pas de quelle maladie a souffert Jessica, mais elle est guérie. Pendant longtemps, une fois par mois, ces jeunes ont continué à se réunir chez Jessica. À poil. La maman n’était pas trop d’accord. Et puis, elle a laissé faire… Quelle est belle cette jeunesse. Elle est belle à ...
... poil, mais elle est belle aussi dans sa tête… Des émotions d’abord. Quelques sourires ensuite… Dany est un jeune garçon de 17 ans, passionné par la mode punk, qu’il a décidé d’adopter. C’est donc à un gaillard à la crête verte haut perchée sur un crâne pour le reste rasé que je m’en vais, ce jour, faire son rappel contre le tétanos. Je le rencontre dans l’escalier sans savoir que c’est lui, et il me toise, son blouson de cuir noir parsemé d’épingles de nourrice et constellé de mots tracés au tippex, à la gloire des Sex Pistols et de Nina Hagen… Un vrai spécialiste. Je me rends à l’appartement renseigné sur mes fiches. C’est sa maman qui m’ouvre. Quelques minutes se passent et Dany nous rejoint. Un vrai dur. Qui roule des mécaniques, qui rabroue sa maman, qui renifle bruyamment (et de manière tout à fait impolie !), qui ouvre une canette de bière et se vautre dans le fauteuil en attendant que je passe à l’action. Je prépare le matériel, et lui propose la piqûre debout, les deux mains sur la table ou couché sur le ventre dans le divan. Il se fait déjà moins fier, mais choisit finalement la position couchée. Je lui demande de défaire son pantalon, et de légèrement le baisser ainsi que le slip pour dégager suffisamment le haut de la fesse pour me permettre de lui faire cette piqûre. C’est là que le faux dur se révèle. Il rechigne. Hésite. Se fait rappeler à l’ordre par sa maman. Consent finalement à défaire sa braguette, mais sans baisser suffisamment ses vêtements. Je le lui fais ...