1. La tarte aux fraises


    Datte: 27/03/2020, Catégories: fh, amour, volupté, odeurs, Oral pénétratio, fdanus, aliments,

    Élise est une petite femme que j’ai toujours aimée. Nos mariages respectifs avec d’autres nous ont séparés. Peut-être étions-nous faits seulement pour nous rencontrer et nous retrouver bien des années plus tard. C’est à une de ces rencontres que je vous convie. ooOOoo Élise était mignonne à voir ! Penchée sur la table, elle palpait, écrasait, appuyant des bras et des mains. De derrière, je la regardais, fixant les muscles de son dos qui parfois se courbait, et c’est souvent à ce moment là qu’elle poussait les fesses en arrière comme pour prendre appui sur un support qui n’existait pas. Parfois sa langue à la pointe acérée sortait d’entre ses lèvres, comme lors d’une concentration intense. Elle s’arrêta un moment, frottant ses mains l’une contre l’autre, reprenant sa respiration. Son épaule brune et légèrement dégagée laissait apparaître une bretelle de son soutien-gorge qui se prolongeait à travers son vêtement et ceinturait son dos d’une ligne sensuelle. À présent c’est à deux mains, les bras tendus, qu’elle malaxait, j’entendis son souffle s’accélérer doucement. Je déposais un baiser dans son cou, remontant à petites touches vers l’oreille. Les petits poils de ses bras se dressèrent violemment pendant qu’elle arrêtait tout mouvement. J’en profitai pour remonter son chemisier, laissant les paumes de mes mains lui enserrer les seins dont les pointes se dressèrent fièrement. Ses mains ne bougeaient pas, immobiles. Élise avait l’air d’arrêter le temps, de profiter de cet ...
    ... instant de douceur et de tendresse. Je chuchotai à son oreille : — Continue, sinon elle va retomber ! En lui mordillant le lobe de l’oreille, je vis ses mains replonger dans la boule de pâte à tarte qu’elle préparait pour le souper. J’en ai la gorge sèche. Chacun de ses mouvements fait tressaillir sa poitrine entre mes doigts. Je la sens concentrée… Est-ce sur la boule de pâte, ou sur le lent mouvement de mes mains ? Je glisse mes mains dans son dos et dégrafe la petite attache qui entrave mon exploration. Une petite crispation de son corps accompagne la chute de ce premier rempart. Ses seins libres explosent dans mes mains. J’aime les envelopper, les prendre comme deux beaux fruits mûrs à la peau lisse. Celle-ci se granule doucement sous la pression de mes caresses, et c’est une petite tige raide et dure qui jaillit d’eux comme une fière petite gargouille de cathédrale. Élise tourne la tête doucement et commence à m’embrasser avec une douceur infinie qui me fait chavirer. Sa bouche sent la vanille, la cannelle, les fruits exotiques. La pulpe de ses lèvres est douce, un peu froide comme un fruit après une averse. Ma langue dessine doucement des arabesques compliquées sur sa bouche en suivant la commissure de ses lèvres. L’odeur qui émane d’elle, de ses cheveux, m’enveloppe, me grise doucement, m’englobe en entier. Je sens qu’elle s’abandonne, légère, confiante, aimée. Sa tête s’incline sur mon épaule, lentement. Sa langue vient à la rencontre de la mienne, prudente, timide. Petit ...
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