1. La tarte aux fraises


    Datte: 27/03/2020, Catégories: fh, amour, volupté, odeurs, Oral pénétratio, fdanus, aliments,

    ... de son sein dans le fruit. L’impression est intense, sentir sa chair entrouvrir la pulpe du fruit pour s’y glisser, s’y loger. C’est frais comme une bouche humide et enveloppante. Je l’enfonce avec application jusqu’à ce qu’il couvre complètement l’aréole brune. Avec application, je reprends un autre fruit, et je pare son autre sein de la même façon. Arquée, elle pousse sa poitrine en avant, s’offrant, deux fraises ouvertes ornant sa poitrine… Petite femme aux fruits ! Déjà deux filets de jus sucré s’écoulent de ses seins et ruissellent sur son ventre. Excitante à dévorer, je recherche la présence de ses lèvres sur lesquelles les miennes viennent s’écraser avec force. Ses mains se débattent dans la pâte, elle essaye de s’en libérer pour être libre. Ma bouche quitte la sienne et plonge sous ses seins, récupérant le liquide parfumé qui s’écoule des fruits. Je remonte en douceur jusqu’à sa poitrine, léchant chaque partie de sa peau. Alors comme une abeille, je butine une première fraise, écartelée sur le petit mamelon. Je mordille, en prélevant de petits morceaux. Saurais-je faire la différence entre le fruit et la chair ? M’arrêter à temps ? J’ai envie d’y mordre à pleine bouche ! Parfois mes dents frôlent sa chair, lui arrachent un léger gémissement, ma langue tournoie, avalant le jus qui s’écoule chaud dans ma bouche. Puis d’un coup, j’englobe le téton en entier, écrasant mes dents sur les fruits de chair juteux. Élise émet un petit cri, et ses mains pleines de pâte viennent ...
    ... presser ma tête contre son sein. Mes mains parcourent son dos de haut en bas, cherchant ses épaules nues, puis redescendent le long de la colonne vertébrale jusqu’à la naissance de ses fesses. Ma bouche est remplie de sa chair, dure, ferme. Ma langue combat avec le petit téton qui frétille sous la caresse. Il lutte sous mes assauts, je l’enroule dans le jus de fraise, le baigne dans cette saveur du fruit savoureux. Je le suce, l’aspirant par petites saccades et il gonfle lentement sous mes lèvres qui l’enserrent vigoureusement. Son pantalon me gêne, d’une pression je fais sauter le bouton et je descends la tirette. Mes mains empoignent les côtés du vêtement aux hanches et d’une brusque traction, je descends celui-ci sur ses chevilles. Oups… sa petite culotte a suivi le mouvement… Mes lèvres barbouillées plongent entre ses seins et suivent la ligne de plus grande pente, celle que la coulée de fraise n’a pas eu de mal à trouver ! Je freine sur le nombril, petit lieu où s’est accumulé pas mal de jus. Je récupère consciencieusement ce nectar sur son corps à petits coups de langues gourmands. J’essaie de prendre du recul pour la regarder. Je sais qu’elle ne veut pas, et ses mains pressent mon visage contre son ventre. Mes mains englobent ses fesses. J’ai toujours adoré ses petites fesses, juste la bonne taille ! J’y laisse juste traîner le bout des mes ongles, les parcourant en tout sens éveillant sur sa peau d’imperceptibles frémissements. Parfois mes doigts s’arrêtent au bas de ...
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