1. Le mariage


    Datte: 27/03/2020, Catégories: fh, extracon, inconnu, parking, fête, Masturbation facial, Oral pénétratio, occasion,

    Il y a deux semaines, j’ai participé à un mariage qui m’a réservé une bien jolie surprise ! J’avais été invité par la mariée en tant qu’ami d’enfance mais elle m’avait prévenu qu’il n’y aurait pas grand monde que je connaissais. Effectivement, je me suis retrouvé à une table avec des copains de promotion du marié où je ne connaissais personne. N’étant pas du tout timide, cela ne me dérangeait pas de faire connaissance avec des inconnus et de passer la soirée avec eux. À côté de moi se trouvait une charmante blonde coiffée avec un chignon et d’adorables yeux bleus, copine d’un des amis du marié. Elle portait une robe bleu marine assez courte sur les cuisses mais qui couvrait entièrement ses seins. Je me rendis vite compte que les invités du marié étaient là pour parler du bon vieux temps et pour se ressasser leurs souvenirs. C’est pourquoi, rapidement, je me mis à parler avec ma jolie voisine. Au début, nous n’échangions que des banalités avec Mélanie puis, heureuse de ne pas avoir à subir les conversations (de plus en plus alcoolisées il faut l’avouer) de son fiancé et de ses copains, nous parlâmes vraiment de tout. Quand la soirée dansante se lança, je vis bien qu’elle avait envie d’aller danser mais était un peu bloquée par son copain. Je me permis donc d’interrompre les évocations de leurs souvenirs : — Désolé de vous déranger mais ça te pose un problème si j’emmène Mélanie danser, histoire qu’elle puisse s’amuser elle aussi ?— Non pas du tout, me répondit-il en ...
    ... détournant à peine la tête. Au contraire, je te la confie pour la soirée avec pour mission qu’elle s’amuse !— Eh bien, c’est parfait ! À ces mots, je me levai et entraînai ma voisine vers la piste de danse. Nous dansâmes pendant un long moment. Je n’hésitais pas à l’attirer contre moi quand la musique le permettait et elle ne refusait pas mon offre. Je gardais quand même mes mains sur ses hanches n’osant pas les descendre trop vite sur ses fesses. Au bout d’un moment, elle sentit le besoin de souffler et nous allâmes respirer un peu d’air frais. Nous discutâmes de tout et de rien puis la conversation dériva sur son copain : — C’est tout le temps comme ça ? Il se met tout le temps dans cet état-là ?— Non, c’est seulement quand ils se retrouvent entre potes. Comme ils ne se voient pas souvent, ils passent la soirée à parler de leur jeunesse et à picoler.— Et ça ne te gêne pas ?— Ce n’est pas souvent, donc je laisse faire… Mais je dois avouer que ça me saoule de plus en plus ! D’ailleurs, il y en a deux dont les femmes sont restées chez elles pour ne pas avoir à supporter ça.— Je me doute…— Enfin bon, au moins, ce soir, je n’aurais pas passé la soirée à me morfondre à table !— Mais c’est un plaisir pour moi…— Je vais devoir te laisser quelques minutes. Il faut que j’aille changer de chaussures car, avec ces talons, mes pieds me font horriblement souffrir.— Je peux peut-être t’accompagner ?— Oh si tu veux, elles sont dans la voiture. Nous rentrâmes dans la salle et elle se dirigea vers ...
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