1. Le mariage


    Datte: 27/03/2020, Catégories: fh, extracon, inconnu, parking, fête, Masturbation facial, Oral pénétratio, occasion,

    ... ses jambes jusqu’à son string que je fis glisser rapidement jusqu’à ses chevilles. Je la fis asseoir sur le bord du coffre, soulevai une de ses jambes pour les écarter et passai ma tête sous sa robe. J’embrassai alors goulûment son sexe déjà bien trempé. Elle poussa vite de petits soupirs étouffés de plaisir. Ma langue jouait avec le haut de ses lèvres et son clito alors que je faisais glisser mon index dans son sexe. Elle avait les deux mains posées sur ma tête et parfois elle appuyait plus fortement pour maintenir ma bouche plaquée sur son sexe. Mais au bout de quelques minutes, elle me fit relever. — Tu n’aimes pas ?— Si j’adore, mais assise comme ça sur le bord du coffre, ça me fait trop mal.— Tu veux qu’on se mette sur le capot ?— J’avais pensé à nous mettre dans la voiture, cela serait plus discret.— Avec toutes les affaires qu’il y a, on ne va pas pouvoir bouger !— Tu as raison, allons sur le capot. Elle m’attrapa la main et m’emmena vers l’avant de la voiture. Alors que je voulus m’agenouiller à nouveau devant elle, elle me poussa contre la voiture et s’agenouilla : — À mon tour maintenant ! Elle défit rapidement ma ceinture, me déboutonna et fit glisser mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Mon sexe déjà tendu se dressa devant son visage. D’une main, elle saisit la base de mon sexe et posa ses lèvres sur mon gland. Elle commença par faire lentement glisser sa bouche autour ce dernier puis, petit à petit, elle avalait presque la totalité de mon sexe. Elle me ...
    ... suçait avec application, avec un rythme parfait. De temps en temps, son autre main allait agacer mes testicules. Je la laissais faire, profitant pleinement de ce moment. Après un moment que je ne pourrais estimer, elle se releva et vint s’asseoir sur le capot, la robe relevée et les jambes largement écartées. Malgré l’obscurité, je voyais parfaitement ses yeux coquins qui réclamaient que je la prenne. Je la saisis par les cuisses et elle présenta mon gland à l’entrée de son sexe. D’un coup de reins, je glissais lentement en elle. Elle était tellement excitée qu’en quelques allers-retours, mon sexe entier s’engouffrait en elle. Elle s’accrocha à moi et colla sa poitrine contre mon torse, sa tête contre la mienne. J’étais profondément planté en elle et je la laissais bouger son bassin prodiguant ainsi des caresses très sensuelles entre son sexe et le mien. Puis, elle s’allongea sur le capot, les jambes autour de mon corps, se laissant pénétrer sans bouger. Je la tenais fermement par les cuisses, juste au niveau des liserés de ses bas et je donnais de grands coups de bassin. Mon sexe allait et venait en elle et je sentais parfois ses fesses glisser sur le capot sous l’effet de mes coups de reins. Je voyais bien qu’elle essayait de retenir ses cris mais elle ne pouvait s’empêcher de lâcher quelques soupirs. Au bout d’un moment, je me retirai et elle comprit sans un mot ce que je voulais. Elle se redressa et se retourna pour me présenter sa croupe, tout en appuyant ses coudes sur le ...