1. Le mariage


    Datte: 27/03/2020, Catégories: fh, extracon, inconnu, parking, fête, Masturbation facial, Oral pénétratio, occasion,

    ... notre table où tous les hommes avaient l’air bien plus qu’éméchés ! Elle informa son copain qu’elle allait à la voiture et c’est à peine s’il prit la peine de lui répondre, bien trop absorbé pas sa conversation. L’air triste, elle prit le chemin de la sortie et je la suivis. Une fois dehors, je relançai la conversation avec des banalités. En marchant lentement, nous mîmes plusieurs minutes pour arriver au parking qui n’était qu’un simple champ, un peu à l’écart et peu éclairé. Ella avait un peu de mal à marcher dans l’herbe avec ses talons et plusieurs fois je la rattrapai par le bras alors qu’elle semblait trébucher. Une fois même, elle trébucha pour de bon et je dus la rattraper en la prenant par la taille. Alors qu’elle se tournait vers moi pour me remercier, je plantai mon regard dans le sien, cherchant à lui faire comprendre à quel point je la trouvais jolie. Elle me fixa en souriant quelques secondes puis, sans un mot, nous retournâmes vers la voiture. Arrivés sur le parking, elle se dirigea vers une BMW qui était garée un peu à l’écart du chemin. Elle ouvrit le coffre et commença à fouiller dans un sac de voyage. Elle me tendit une paire de chaussures que je saisis puis elle continua à fouiller : — Je cherche une paire de collants ou de bas car je commence à avoir un peu froid. Tu veux bien me tenir mes chaussures ?— Pas de soucis. Au bout de quelques secondes, elle se retourna avec un sourire et une paire de bas couleur chair à la main : — Avec ça, ça devrait aller ...
    ... beaucoup mieux ! Elle s’assit sur le bord du coffre et commença à enfiler le premier bas. Je la regardais faire glisser lentement le nylon le long de sa jambe. Elle fit tellement remonter sa robe que je pus apercevoir le tissu mauve de son string. Avec la même lenteur, elle enfila le second bas dont les liserés restaient entièrement à ma vue. J’étais fortement excité par le spectacle qu’elle m’offrait et j’avais toutes les peines du monde à cacher mon érection. Alors que je lui tendais ses chaussures, elle reprit les anciennes et les mit : — Je vais garder celles-là jusqu’à la salle, histoire de ne pas salir les autres dans l’herbe. Elle se releva et, tout en se tortillant un peu les hanches, elle fit redescendre sa robe sur le haut de ses cuisses. Le tissu couvrait à peine les liserés, perchée sur ses talons, le nylon dessinait encore plus parfaitement ses jambes. Elle se retourna et se pencha à nouveau dans le coffre. Je ne pouvais quitter ses jambes et ses fesses des yeux. Alors qu’elle allait se redresser pour fermer le coffre, je me collai à elle, mon sexe tendu appuyé contre ses fesses et mes mains sur ses hanches. Surprise, elle poussa un petit cri : — Mais enfin, qu’est-ce que tu fais !— Tu m’excites trop depuis tout à l’heure, j’ai trop envie de toi !— Mais je ne suis pas libre, tu le sais bien…— Tu parles de ton copain, qui doit être complément saoul à l’heure qu’il est et qui t’a ignorée pendant toute la soirée ? Tout en essayant de la convaincre, je maintenais mon ...