1. Pour une Queue Montrée (2)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pis ! Faut la sortir ! Et puis elle est prête à la voir. Les mains légèrement tremblantes malgré tout, je déboutonnai mon pantalon, descendis ma braguette, puis lentement, je le baissai en même temps que mon boxer. Ma verge sauta en l’air. Doucement, j’étirai mon prépuce pour dégager mon gland rouge, lisse et brillant. Quitte à jouer le jeu, autant le faire à fond. Malgré ma baise de tout à l’heure, j’avais une superbe érection qui me rendait intérieurement fier. Et en même temps, je ne me sentais pas en posture d’orgueil en sachant qui était en train de la reluquer. — Voilà… fis-je d’une voix blanche, presque penaud. — Humhm… répondit ma sœur dans un hochement de tête. Elle marqua un court silence. En la regardant, je décelai un très léger mais perceptible sourire naissant sur ses lèvres. Puis : — Je peux dire quelque chose ? — Euh… oui ? — Mes copines ont raison : tu as une belle bite ! Puis elle me regarda et ajouta avec bienveillance : — Tu es un bel homme, tu sais ? Et… partout. — Euh… merci… Pas évident de cerner ce qu’elle voulait dire par-là… Laurianne, à quatre pattes, se déplaça pour observer mon engin selon différents angles. C’était très étrange. Il y avait à la fois le plaisir d’être admiré, et la gêne que ce soit par un membre de ma famille. Et pourtant… Ah ! Je devais avouer que ça devenait agréable, le temps passant. Voir l’œil intéressé et attentif d’une personne en principe interdite sur ma verge érigée, c’était… grisant ! Ma sœur regardait ma bite… ...
    ... Comme elle la fixait, je m’étais surpris à songer lui dire « Tu veux goûter ? » Non mais oh ! Ça va pas ?! Heureusement que je ne l’ai pas sorti, ça ! — Je peux ? Laurianne m’arracha de mes pensées. Elle se tenait devant moi, la main ouverte en direction de mon sexe. Que… ? Elle… ? Elle voulait… le toucher ?? — Euh… O… Oui, si tu veux… Et qu’est-ce qui me prenait, bon sang ?! J’avais aucune idée de ce qui m’avait poussé à dire ça, je ne l’avais même pas pen… Oh ! Les… les doigts de Laurianne s’étaient refermés. Tout autour de ma hampe. Dans cette prise, le bord de sa main touchait en même temps mes testicules. J’appréciais. Beaucoup. De nouveau, je m’imaginais l’inviter à me sucer. — Elle est toute chaude ! me dit-elle. Et très peu de temps après, ma sœur commença des caresses le long de mon vit, très doucement. La gêne croissante s’accompagnait du honteux plaisir, et je ne savais plus ce qu’il y avait de mieux à dire entre « Arrête » et « Encore ». Je redoutais l’escalade, et en même temps je la désirais très fort. D’abord voir ma queue, puis la toucher, puis me branler… Allait-elle oser me sucer ? C’était ma sœur, on n’avait pas le droit de faire ça… Je devais l’arrêter… Mais putain, j’avais envie ! Elle lâcha ma verge pour me malaxer les bourses. Oh, c’était grandiose… Je sentais mes deux boules passer tour à tour dans sa paume, ma peau parfaitement lisse et épilée de la veille. — Elles sont belles, tes couilles, dit-elle d’une voix presque somnambule. — Merci, ma belle… Je ...