1. Pour une Queue Montrée (2)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... mon courage à deux yeux… xqgxlluz Ma sœur avait une belle vulve. Sans nul doute l’une des plus belles que j’ai eues à voir de ma vie, en vrai ou sur Internet. Et je n’affirmais pas ça parce qu’elle était interdite, pas du tout. Aucun reste de poil, pas la moindre trace. Je restai ainsi à l’observer, seulement des yeux, sans y toucher. Sincère, je complimentai Laurianne sur son corps et la qualité de son entretien. Puis après le lui avoir demandé, j’effleurai du bout des doigts ses grandes lèvres, largement au début, puis me resserrant de plus en plus au centre sous les quelques couinements de ma partenaire, qui était peut-être plus émue par ce que nous faisions ensemble que par véritable plaisir. Telle une fleur au soleil, la chatte s’ouvrait doucement en réponse à mes caresses. Je n’avais même pas tenté d’entrer un peu dans la fente, c’étaient les petites lèvres qui commençaient à sortir toutes seules. Là, mes doigts s’attaquèrent toujours avec tendresse à ces charmants petits bouts de chair sensibles ; et cette fois, les soupirs de Laurianne étaient plus dus au plaisir qu’à la crainte du péché. Comment le sais-je ? Ils étaient identiques à ceux que j’avais déjà entendus avec d’autres filles. Plus il se découvrait, plus je trouvais ce sexe magnifique. Je n’osais pas la doigter. En revanche, ma bouche me faisait dorénavant comprendre qu’elle aimerait beaucoup se joindre à la fête, et aider cette vulve à s’humidifier davantage, elle qui avait déjà commencé à être moite. Tout ...
    ... à l’heure je redoutais l’escalade, mais maintenant c’était moi qui m’y engageais en m’apprêtant au sexe oral. Mes mains passèrent sur les cuisses et ma tête avança timidement. J’étais obnubilé par cette chair, où allions-nous nous arrêter ? Et mon érection, frottée contre le matelas… Est-ce que ce petit plaisir ne me faisait pas penser avec ma queue plutôt qu’avec ma tête, en cet instant si acrobatique moralement et sensuellement ? Savions-nous réellement ce que nous faisions ? — Grégoire… Je levai les yeux. Laurianne était anxieuse, et je la comprenais. C’était pareil pour moi. — Je… Si tu m’embrasses… on… on va jusqu’au bout. Il y eut un silence où nous nous fixâmes. Alors voilà… Nous ne nous arrêterions pas, justement, si j’escaladais. Mon cœur battait encore plus fort, je stressais toujours plus. Puis elle reprit : — Je… Je veux bien. Mais on a déjà fait beaucoup… On peut faire demi-tour et… oublier ce qui s’est passé. Ah oui, mais comment oublier ?! Quoi qu’il arrive, cette journée allait rester gravée dans notre mémoire. Qu’on le veuille ou non. — Grégoire… C’est toi. Quoi que tu fasses… Puis Laurianne prit une grande inspiration, trouvant sans doute le courage de terminer sa phrase : — … je ne t’en voudrai pas. Quelle terrible situation que de se retrouver seul décisionnaire face à un tel dilemme ! Tout en continuant à caresser machinalement la chatte du bout des doigts, je ne savais pas quoi faire. Ma tête avançait, puis reculait. Certains auraient dit « foutu pour ...