1. Pour une Queue Montrée (2)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... commençais à complètement perdre les limites de nos actions. Laurianne avait-elle préparé tout ça ? Depuis combien de temps songeait-elle à me tripoter avec mon consentement ? Ou était-ce quelque chose de complètement improvisé, peut-être « hypnotisée » par la vision de ma queue ? Quoi qu’il en soit, toujours sans comprendre ce qui me prenait, je m’adressai à ma sœur : — Lau… — Oui ? — Tu es… contente, de voir ma bite ? — Oui, très contente. Tu es bien membré. Tu fais sûrement honneur aux hommes de la famille. Parlait-elle de nos ancêtres au fil des siècles, ou de nos contemporains ? Dans le deuxième cas, ça voulait peut-être dire qu’elle avait… vu aussi… Je préférais la première option, et me dire que j’étais le seul membre de sa famille dont elle a vu le membre. Que Laurianne couche avec plein de monde, aucun problème ; mais qu’elle ait été sautée par toute la famille… Oh non, l’idée était horrible ! — Je voulais… te demander autre chose, ajoutai-je. — Oui ? — Je t’ai montré ma bite. À ton tour de… me montrer ta chatte. Ce fut à Laurianne de me fixer un instant. Eh, à quoi elle s’attendait ? Elle avait vu ce qui me faisait homme, j’avais bien le droit de voir ce qui la faisait femme, non ? Bon, à la base je voulais lui demander ses seins, mais c’est la chatte qui est sortie de ma bouche, et ça ne me dérangeait pas vraiment : j’étais possédé par une curiosité indiscrète. — Comme tu veux, dit doucement ma sœur en hochant lentement la tête. Elle s’allongea à côté de moi, ...
    ... prenant son temps, et enleva les boutons de son jean. Contrairement à moi, elle le retira complètement, le jetant par terre. Elle mena ensuite ses mains à ses hanches pour faire glisser le long de ses cuisses et de ses mollets le tissu de sa culotte. Tout comme moi, ma sœur avait l’épilation intégrale des organes génitaux. Je le savais, maintenant j’en avais la confirmation ; et elle aussi semblait s’être épilée récemment. Laurianne écarta les jambes. Je pouvais voir un bout de son clitoris de là où j’étais, mais il me fallait bouger. Cependant je n’y allai pas tout de suite : ça m’intimidait. Pourtant on le sait maintenant, j’ai vu un bon nombre de chattes. Elles ne me faisaient pas peur. Mais mon trouble reprenait de la force et me faisait douter : je n’avais pas le droit, allais-je oser ? C’est l’esprit confus que je passai une main de l’autre côté de la jambe de ma sœur, pour me mouvoir lentement dans ce V. Nous ne nous quittions pas des yeux, à vrai dire. Notre insouciance de toute à l’heure, à parler de choses cochonnes, s’était métamorphosée en sérieux de faire des choses cochonnes. Car regarder, c’était faire. Laurianne m’avait touché le sexe, et autant elle que moi savions que j’allais faire de même avec le sien. Mon corps était entre les jambes de Laurianne, mais nous nous regardions toujours. Je la remarquai déglutir et inspirer par saccades. J’avais le visage face à son sexe, à quelques centimètres ; je pouvais sentir faiblement ses humeurs vaginales. Enfin, prenant ...