Vacances avec ma Filleule (9) - Histoires de Sexe

Vacances avec ma Filleule (9)

... une voûte en pierre avec un escalier qui descend au sous-sol. Il fait sombre mais je vois une lueur au fond. Je regarde Cécilia qui me fait un signe de la tête pour me dire d’avancer. J’avance à tâtons. Je descends toutes les marches une à une ; Cécilia me suit de près. Nous arrivons dans une cave éclairée par des flambeaux où il y a plein d’objet suspendus et une croix de Saint-André au milieu de la pièce (j’ai su son nom et son utilité plus tard). • Vous faites quoi ici ? • À mes temps perdu et sur demande, je suis maîtresse pour des hommes ou des femmes qui le désirent. • Maîtresse ? • Oui : je pratique le sadomasochisme, plus ou moins soft ; ça dépend des demandes. • Carrément ! • Oui, et aujourd’hui je t’ai demandé de venir pour t’offrir une séance d’initiation. • À moi ? • Oui. Vu tes prouesses de la dernière soirée ensemble et ta soif s’apprendre que vante ton parrain, j’ai eu l’idée de te faire cette surprise. • Merci, mais j’ai peur d’avoir mal… • On ira à ta volonté ; tu n’auras qu’à dire « stop » et on s’arrête. • Je peux réfléchir un peu ? • Oui, bien sûr. Moi je remonte en boutique et tu viens me voir quand tu as pris ta décision. • OK. Cécilia remonte, me laissant seule dans cette cave. Je commence à faire le tour ; les trois-quarts des objets me sont complètement inconnus. Parmi tout ça, je vois des godes, des pinces, des bougies, des martinets et même des cravaches. Je m’approche de la croix ; je remarque des poignées. J’en déduis que c’est pour attacher une ...

... personne. Je me positionne devant pour voir l’effet que ça peut faire de s’y retrouver. Toute cette pièce m’intrigue, mais en même temps je mouille à mort de m’y trouver. Je sens ma cyprine commencer à couler entre mes cuisses ; je trouve une chaise et m’y assois. Je pose une jambe sur le bras et je pose ma main sur ma chatte toute liquide. Je suis en eau : ça doit être la pièce et toute la luxure qui en ressort. Avec un mouvement d’épaule je fais tomber une bretelle de ma robe, me libérant un sein. Je le pétris sans retenue et me doigte avec deux doigts. Un troisième suit ses frères, et il ne me faut pas longtemps pour jouir. Une fois revenue à mes esprits, je rajuste ma robe et remonte voir Cécilia. Elle n’est pas dans la boutique ; je l’appelle plusieurs fois quand je la vois sortir de la porte de gauche. • Tu faisais quoi ? • Je préparais la cabine pour un client. • Merde, moi qui voulais bien descendre avec toi… C’est râpé ! • Pas du tout ; c’est un client régulier. Je lui dis juste que je dois m’absenter et que dès qu’il a fini il sort par la sortie de secours ; comme ça je ferme la boutique et nous sommes tranquilles. • T’es sûre de toi ? Il ne descendra pas ? Je ne veux pas être vue dans une mauvaise situation. • Sûre, je te dis ! Il vient plusieurs fois par semaine ; j’ai confiance en lui, et en plus je vais fermer la porte de la cave avant de descendre. • Oui, je serais plus rassurée. Cécilia ferme la boutique à double tour et entre dans la salle de projection pour ...