1. Vacances avec ma Filleule (9)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pour finir sur mes joues. Je fronce les paupières de peur de recevoir un coup au visage. Je sursaute quand je reçois un baiser sur la bouche de sa part. J’ouvre les yeux et la vois avec un grand sourire aux lèvres. • Ça va ? Tu veux que j’arrête ? • Non, continue. Je ne sais pas pourquoi j’ai répondu ça. Ma tête voulait que tout s’arrête mais mon utérus voulait voir jusqu’où je pouvais aller dans la soumission. Elle retire les pinces de mes tétons. Après un court soulagement, une douleur vive me prend : le sang qui revient dans la pointe de mes seins me fait souffrir ; je regrette presque les poids. Mon répit et de courte durée. Ma maîtresse me remet des poids plus lourds ; j’ai l’impression qu’ils vont m’arracher les seins. Je grimace, ce qui me vaut un coup de cravache sur le haut des cuisses ; je comprends que je ne dois pas faire voir ma douleur. Maintenant elle passe derrière la croix ; je ne vois pas du tout ce qu’elle peut faire. J’entends une caisse en bois bouger et même cogner dans mes entraves quand soudain une sensation de brûlure au niveau des seins me fait pousser un cri, plus de surprise que de douleur. Je baisse les yeux et découvre une sorte de pâte noire sur mes seins. Je lève les yeux et je vois la main de Cécilia qui tient une bougie au-dessus de moi. Des gouttes tombent à nouveau sur moi. Je crie à nouveau ; cette fois, c’est plus douloureux. Des larmes commencent à couler de mes yeux. Malgré cette douleur, qui passe assez rapidement, je mouille toujours ...
    ... autant. Je sens même le spéculum commencer à glisser de mon con. J’essaie de le retenir, mais en vain ; il tombe par terre en faisant un bruit de métal sur le sol. Cécilia cesse avec la bougie et se poste devant moi. Elle tire sur les poids placés sur mes seins et les lâche d’un coup. J’ai de moins en moins de douleur aux tétons ; c’est sûrement dû aux douleurs provoquées par la cire chaude. Elle se met à genoux, me caressant tout le corps au passage, ramasse le spéculum et le remet d’un coup franc. Elle l’écarte tellement que je sens un courant d’air dans mon vagin. Je frissonne. Elle me met un collier avec une laisse et me détache de la croix, puis elle tire sur le collier en me donnant l’ordre de la suivre ; j’obéis. On est devant une table ronde. Avec un coup de martinet sur le cul, elle me fait monter dessus, d’abord à quatre pattes. Je reçois encore des coups de martinet sur le bas du dos et les fesses. Je crie. Ce sont des cris entre douleur et excitation. C’est vrai que, malgré les sévices que je subis, j’ai de plus en plus envie que l’on me baise comme la dernière des traînées. Elle tire à nouveau sur la laisse, me faisant plier les bras et m’écraser le visage sur le bois de la table. Elle détache la laisse et m’attache à une petite longe fixée sur le bois du tablier qui me laisse à peine de quoi lever la tête pour la tourner. Je suis sur les genoux, la croupe en l’air, les mains sous mon visage en guise de coussin. Mon corps est en feu à cause des coups reçus et de ...
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