Vacances avec ma Filleule (9) - Histoires de Sexe

Vacances avec ma Filleule (9)

... en ressortir rapidement en me disant de la suivre. Effectivement, elle ferme la porte derrière nous et ensuite nous descendons dans la cave. • On commence par quoi ? • Déjà, déshabille-toi. Je m’exécute sans broncher, comme hypnotisée. Ma robe a à peine touchée le sol que Cécilia m’attrape par le bras et me plaque sur la croix. En deux secondes, je me retrouve attachée dessus. J’ai une position encore plus obscène que je ne le pensais. Les bras en l’air et les jambes outrageusement écartées, je me sens vulnérable. Cécilia s’approche et me roule une pelle ; nos langues se mélangent. Elle se recule en me souriant et va derrière un paravent. Quand elle ressort, elle s’est changée ; elle porte un corset en cuir rouge laissant apparaître ses seins, un string ficelle noir et des cuissardes en cuir verni montant à mi-cuisses. Dans une main elle a un martinet, et dans l’autre de petites pinces avec des poids dessus. Elle me fouette légèrement les seins avec le martinet tout en me regardant. Les coups ne sont pas trop douloureux ; je sens ma poitrine chauffer. Mes seins commencent à être bien rouges, et mes tétons sont durs. Elle pose le martinet et agrippe un de mes seins, le lèche, le tète puis mord mon téton à me faire crier de douleur. Elle relève la tête et, avec un sourire aux lèvres, m’embrasse à nouveau. Elle fait rouler mon téton et y pose une des pinces avec le poids dessus. La pince me fait mal et le poids augmente cette douleur. Je grimace. Cécilia fait de même avec mon ...

... autre sein et m’embrasse un peu partout. Malgré la douleur, je sens que je mouille d’excitation. Les mains de Cécilia caressent tout mon corps, passant par mon con qui coule de désir. Elle me doigte avec trois de ses doigts, les ressort et me les porte à la bouche. Je les lèche avidement. Elle s’accroupit et me prodigue un cunni extra ; je jouis sous sa bouche rapidement. Un coup sur ma cuisse me sort de mon extase : ma maîtresse du jour vient de me claquer la cuisse avec une cravache. Elle recommence en alternant cuisse droite et cuisse gauche. J’essaie d’éviter les coups, mais impossible. Chaque coup me fait crier de plus en plus fort. J’ai les cuisses en feu, et des larmes coulent sur mes joues. Cécilia pose la cravache pour prendre un speculum. Elle l’enduit de vaseline et l’introduit dans mon vagin. Il entre sans résistance. Malgré les douleurs des coups, je suis surexcitée ; je sens ma cyprine me couler sur les cuisses. Elle tourne la petite molette sur le côté. Je sens l’objet prendre de plus en plus de place dans mon vagin. Après une résistance de mon périnée, elle tourne une dernière fois la molette et retourne vers un établi où différents objets sont entreposés. J’ai des coups de chaud dans tout le corps ; si je n’étais pas attaché à cette croix, je pense que je ne pourrais pas me tenir debout face à elle : je serais par terre à quatre pattes ou sur le dos. Cécilia reprend sa cravache, la passe sur mon bas-ventre et remonte entre mes seins, puis passe par ma gorge ...