1. Vacances avec ma Filleule (9)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l’envie de baiser. Seul mon vagin, forcé à rester ouvert grâce à cet objet phallique en métal, reçoit des courants d’air frais. Je sens qu’elle me le retire sans ménagement. Je soupire, ce qui ma vaut une belle claque sur le cul. Le feu remonte sous le coup. Je ne vois pas ce qu’elle me fait, mais je sens qu’elle étale une crème froide sur ma raie. Je serais ravie qu’elle me doigte, ou mieux qu’elle me pénètre la chatte avec son plus gros gode. Ce sera avec ses doigts. Je la sens entrer en moi comme un couteau dans du beurre. Elle a inséré au moins deux doigts, voire trois, que je sens bouger en moi. Maintenant elle titille ma rosette. • Non, pas par là s’il te plaît ! • Pourquoi ? Tu t’es déjà fait enculer : je l’ai vu la dernière fois. • Oui, mais seulement par mon parrain ; il n’y a que lui qui a droit de passer par là. Toi, tu as juste le droit de lécher, mais pas de pénétrer. • OK… Cécilia se recentre sur mon con qui dégouline comme une cascade. Je la sens maintenant écarter mes petites lèvres et verser un liquide tiède dans mon vagin ; je n’ose lui demander ce que c’est. Elle s’affaire de plus belle sur l’orifice qui se distend de plus en plus et qui ne demande qu’à se faire trouer. Chaque fois qu’elle s’arrête, je sens comme un vide qui s’agrandit dans mon ventre. Des bruits de succion se font entendre. Elle doit être à quatre doigts maintenant : je sens le haut de sa main cogner mes grandes lèvres. D’un coup, je ressens un coup dans mon ventre, suivi de violents ...
    ... spasmes dans tout le bas-ventre. Je n’ose croire ce que je pense… Cécilia vient de rentrer son poing dans ma matrice ! J’ai des sensations étranges ; je sens ses doigts bouger en moi. Je couine de plaisir ; être remplie à ce point me déclenche orgasme sur orgasme. Elle retire son poing pour mieux l’insérer de nouveau. Elle me pistonne le vagin, cognant mon col de l’utérus à chaque fois. Je défaillis à chacun de ses coups de poing dans ma chatte, je crie de toutes mes forces le plaisir qu’elle me donne. J’ai la tête qui tourne. Le souffle court, je n’arrive plus à ouvrir les yeux. Je tombe dans les pommes. Quand je me réveille, je suis détachée de la table, calée dans un fauteuil et enroulée dans un drap. Je n’ai plus la notion du temps ; je ne sais pas combien de temps j’ai subi la joute de Cécilia, et encore moins combien de temps je suis restée évanouie. • Ah, tu es enfin réveillée… • Oui. Mais combien de temps je suis restée évanouie ? • À peine cinq minutes. • Il est quelle heure ? Parrain et Delphine vont s’inquiéter, il faut que je les appelle. • T’inquiète pas de ça, ils sont là. • Ouf ! Quoi ? Mais il va me tuer ! Tu ne dois rien lui dire ! • Trop tard ; et j’ai même autre chose à t’avouer. • Tu me fais peur… C’est quoi ? • Attends, Cécilia, je vais lui dire. • Parrain ! • Oui, ma chérie. Tu t’es bien amusée cet aprèm ? • Je vais tout t’expliquer… • Pas la peine, Alex, j’ai tout vu. • Comment ça, « tout » ? • Regarde au plafond et dans les coins des murs. • C’est quoi ? ...
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