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Ivresses exquises (1)
Datte: 05/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... soir ! — C’est bien d’être venue ! Ta dette sera éteinte, mais j’en veux pour mon fric ! Je te garantis que tu ne vas plus aimer le poker pour quelque temps. Tu es donc à moi pour toute la nuit et jusqu’à midi, demain ! Dis-le haut et fort ! Que ceux qui sont présents ici entendent bien ton approbation ! Allez ! On t’écoute ! — Oui ! Je suis d’accord pour être à vous jusqu’à demain douze heures. Vous me garantissez cependant que je serai quitte de ce que je vous dois ? — Pas de souci, tu sortiras d’ici sans plus rien me devoir ! Bien ! Alors que la fête commence, maintenant ! Une main, la sienne, une autre ? Quelle importance au point où j’en suis ! Une main remonte sur ma jupe, et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, voilà celle-ci qui est déboutonnée, puis retirée. La même opération que pour mes poignets est appliquée à mes chevilles. Écartelée, je suis définitivement positionnée en X. — Ouvre la bouche ! Non ! Tu peux faire mieux que cela, ouvre-moi ces jolies lèvres. Là encore, mes mâchoires se desserrent pour que l’on introduise dans ma bouche une boule qui me semble être de latex. Liée sur ma nuque aussi, je ne suis plus en mesure d’émettre autre chose que des grognements. Puis il ne se passe plus rien. Un long, un très long moment, je n’entends plus aucun bruit. Mais qu’est-ce que j’ai mal aux muscles des bras, des épaules, des cuisses aussi ? Je m’entends respirer et la peur me gagne, alors que je ne sais même pas pourquoi, je voudrais demander pardon, ...
... crier. — Pitié ! Libérez-moi ! Mais ce foutu bâillon m’empêche de le faire, alors j’ai les larmes qui montent, c’est l’ouverture des grandes eaux. Soudain, dans le silence, un sifflement aigu. Je n’ai pas le temps de comprendre ce que ce bruit a de si particulier, que déjà un serpent de feu m’atteint sur une cuisse. Je voudrais pousser un hurlement, mais seul un incongru grognement sort de ma gorge. Un second coup atteint cette fois mon ventre. Il me fouette, et cela fait mal ! Je tente de gesticuler, mais ils sont solides les liens qui m’entravent. Le cauchemar dure une éternité pendant laquelle je prends des coups, mais jamais où je les attends, c’est à dire jamais là où ils tombent en réalité. Mes seins ne sont pas épargnés, mes hanches et même mon visage, mais une seule fois. Je pense que comme il n’était pas appuyé, c’était juste pour me faire peur. Aussi vite que cela a commencé, tout est de nouveau calme. Enfin plus aucun sifflement suivi de la morsure d’une lanière de cuir, juste maintenant des mains qui passent et repassent sur les endroits meurtris. Et aussi bizarre que cela puisse paraître, après leur passage, le feu est éteint. Les quelques picotements qui résistent aux caresses des doigts qui me touchent s’estompent rapidement. D’autres jouent avec mes tétons. Le bandeau m’est retiré. Et dans la lumière qui m’entoure, je compte trois hommes et Antoine. L’un d’entre eux porte un masque vénitien, donc je ne peux savoir de qui il s’agit. Les trois autres sont pour moi ...