1. Ivresses exquises (1)


    Datte: 05/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de parfaits inconnus. Les cinq-là sont absolument nus et les triques qu’ils promènent en disent long sur leur désir. Je vais devoir assouvir ces quatre queues ? Non ! Cinq parce qu’un homme que je n’ai pas vu jusque-là, reste assis dans un coin. Cinq… ils sont donc cinq ? Je comprends, du coup, pourquoi Antoine me veut jusqu’à midi demain ! Il s’approche de moi. C’est un des inconnus et la queue qui reste droite me touche les cuisses. Mais pour le moment, il ne cherche pas à me prendre. Il écarte mes lèvres vaginales et il commence à lisser ma fente qu’il maintient ouverte. Un de ses doigts pénètre lentement en moi. J’ai beau creuser mon bassin vers l’arrière, je suis appuyée contre le bois de la croix ! Pas moyen d’échapper à l’intromission de ces phalanges. Elles sont profondément ancrées en moi, et il me lime doucement. Puis il fait tourner l’index ou le majeur ! Va savoir ! Un autre doigt suit le premier, et ils continuent leur manège. Mais je dois avouer qu’avec ces mouvements en moi et ma peur, le mélange est plutôt détonnant. Je cherche des images enfouies dans ma mémoire, je ne veux pas leur faire le plaisir de jouir ainsi. Pourtant, je sens déjà que mon corps n’est plus obéissant, qu’il ne m’appartient plus tout à fait ! Merde ! Je ne vais quand même pas, en prime, mouiller pour eux ! Qu’ils me possèdent c’est leur dû, c’est ma dette ! Mais que j’en jouisse serait un surplus que je refuse de leur donner ! Pourtant la condition humaine et la chair sont fragiles. J’ai ...
    ... l’impression qu’un volcan est allumé dans mon bas-ventre. Je peux contrôler mon esprit, mais pas mon corps ! Et ce salaud est en train de me trahir pour de bon. Un troisième doigt est entré, puis c’est le plus petit qui vient en renfort de ses frères. Ils se trouvent enfin bloqués par l’étroitesse de ma chatte. Quand l’homme tente de faire passer aussi le dernier, je sais que je vais souffrir de cette forme de possession. — Elle est étroite, mais comme elle mouille bien ça devrait aller ! Allez ma belle ! Prépare-toi ! Tu vas aimer le fist là ! J’en suis sûr. Ne t’inquiète pas : ça n’abîme rien, c’est souple une chatte ! Et comme la tienne pleure d’envie maintenant, tu vas aimer ça ! Non seulement il joint le geste à la parole, mais en plus j’ai honte, honte d’être ainsi à poils, attachée, à la merci de ces mecs qui vont, me baiser, sans que je ne puisse rien refuser. Sa main force le passage et j’ai la désagréable impression que, millimètre par millimètre, un monstrueux phallus me perfore le ventre. Il a mis combien de temps ? Il ne bouge plus, mais je suis entièrement remplie par sa main tendue. Je sens qu’elle bute au fond de moi. Il est plié devant mon ventre, et son autre main appuie sur mes reins. — Ça y est Antoine ! Je suis rentré complètement ! Tu veux que je continue ou il faut que je stoppe là ? — Non ! Vas-y baise là un peu comme ça, je veux l’entendre un peu grogner, crier ! Je veux la voir jouir ! Mais ne lui fais pas mal, tout en douceur ! D’accord ! — Pour ça, ...
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