1. Ivresses exquises (1)


    Datte: 05/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pas de souci ! Tu me connais ! Il n’y aura pas de casse ! L’homme a bougé sa main en moi. Les douleurs de l’intromission se sont atténuées et je ne ressens plus que cette énorme chose entre mes jambes, au fond de mon ventre. La main tendue se referme soudain et elle débute un mouvement circulaire. Ça me rend dingue, folle. Je voudrais pouvoir bouger mes fesses, pour accompagner les gestes du bras qui me prend. Mon souffle aussi devient plus court et j’ai du mal de respirer. Si seulement ils avaient l’idée de me retirer ce foutu bâillon ! Le poing dans mon sexe se met à s’agiter d’abord lentement puis de plus en plus frénétiquement. Je ne sens même pas que d’autres mains sont maintenant sur mes seins et qu’elles tirent les tétons. Je bave sous la boule qui me cloue le bec, je cherche de l’air. Et mon bassin reste ancré à la croix alors que toutes les sensations me remontent dans tout le corps. Je suis un pantin qui les amuse. Je suis une pute qu’ils vont baiser. Contre ma cuisse, une queue se frotte. En moi, un poing tourne et retourne. Mes seins sont triturés, les tétons tirés comme des élastiques. Et d’un geste brusque, brutal, l’avant-bras qui me tringle sort violemment de mon minou. Ça m’arrache un soupir énorme, ça me laisse un vide terrible. C’est à cet instant qu’enfin la boule qui obstrue ma bouche est retirée. Et je geins à plein poumon, je crie tout mon content. Alors que les doigts passent de mon sexe à ma bouche ouverte. — Lèche ! Lèche salope ! Allez ! Allez ...
    ... suce ! Suce ta mouille ! Tu vois comme tu as juté sur ma patte qui t’a besogné ? J’aime penser que je vais t’enfiler, que ma grosse bite va ramoner ton joli petit cul ! J’adore savoir que tous nous allons te mettre, t’enculer aussi à tour de rôle et même peut-être ensemble. Quel pied qui nous attend ! Quel cul d’enfer tu as ma cochonne ! Comment que tu vas gueuler, on va t’entendre jusqu’à Versailles, je te le dis… moi ! Vive le poker ! L’impression qu’il me manque quelque chose, le vide laissé par la sortie de cette main qui me remplissait, c’est presque intolérable. Je veux crier pour qu’ils me prennent, qu’ils me mettent ! J’ai chaud, j’ai froid ! Je me sens mal, j’ai envie d’être prise, j’ai besoin d’être baisée. Ils ont réussi, mon ventre réclame sa dose de bite, la venue d’une bonne et belle queue ! Les voilà qui me délient et je me rends compte que j’ai mal partout, mais je m’en moque. Je ne suis plus qu’une immense envie, je ne suis plus rien d’autre que cette salope qui veut se faire baiser. Je suis prête à sucer, à branler n’importe lequel d’entre eux, pourvu qu’ils me donnent de la queue ! Ils sont tous assis et je suis au milieu d’eux. — C’est bien ! Mets-toi à quatre pattes ! Vas-y rampe un peu devant nous. Tiens ! Lèche cette belle sucette ! — Celle-là aussi ! Regarde, elle est là ! Aussi pour toi ! — Et la mienne alors ! Elle ne compte pas pour des prunes ! Je vais d’un sexe à l’autre, juste le temps d’une entrée dans ma bouche et ils me poussent à passer au ...
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