Quand Krishna aide le pauvre Mahesh
Datte: 07/04/2020,
Catégories:
fhh,
couleurs,
Collègues / Travail
fdomine,
chantage,
pied,
Oral
humour,
... simple moyen de se rincer l’œil, aujourd’hui. Il ne regardera pas à l’intérieur, cette fois-ci, promis ! Non, il tient à conserver sa place. Qui d’autre voudrait de lui, à 54 ans ? Que dirait sa femme ? Il prend en un seul souffle le courrier qui leur est destiné, le dépose rapidement sans rien dire et s’apprête à sortir. Une voix féminine tranchante et autoritaire le retient. — Mahesh, reste ici ! Il se raidit, se retourne, voit Anne-Sophie dressée de tout son long qui le regarde sévèrement. Marc, à côté, est pâle et semble râler. — Ferme la porte ! notre victime s’exécute à contrecœur.— Tu as cru que tu avais réussi à me faire faire ce que tu voulais ? C’est moi qui décide ici. Pauvre idiot ! Tu n’avais même pas de preuves ! Crois-tu que je ne savais pas que tu allais passer tes yeux de vicieux pendant que je suçais Marc ? L’opprimé regarde le sol, ne sachant quoi dire ni comment. — Non, madame…— Quoi non ? Viens ici, ton sort dans cette entreprise va se décider maintenant ! Elle se lève, se dirige vers une table ronde dont elle écarte les chaises alentour, et s’assied brusquement dessus. — Vous deux, assis en face de moi ! Les deux non-violents s’exécutent, n’osant braver l’autorité de cette splendeur en furie. Doucement, elle s’allonge sur la table, se débarrasse de ses souliers à talons aiguilles, pose le pied droit sur l’épaule gauche de Marc et son pied gauche sur l’épaule droite de Mahesh. — Et maintenant, occupez-vous de mes pieds, bougres d’esclaves ! VIII D’abord, ...
... il hume doucement, en inspirant lentement, sans que son souffle gêne sa partenaire. Du talon au gros orteil, il s’enquiert de chaque saveur qui se dégage de ce pied si précieux. Ensuite, il entreprend de lécher le bord intérieur de ce pied blanc magnifique. Pris d’une pulsion érotique sans précédent dans sa vie, il suce chaque orteil comme s’il s’agissait de la plus onéreuse des glaces italiennes. Ce faisant, ses bras caressent les jambes de sa déesse. Car c’est ainsi qu’il la considère. Marc essaye de le singer mais ce sont des : — Oh oui, Mahesh, que t’es doué… qui sortent de la bouche de leur maîtresse.— …— D’ailleurs, c’est toi qui as gagné ! Elle ôte ses petons jolis, se relève, et indique à Mahesh de prendre sa place. Ce qu’il fait sans discuter. La belle défait son pantalon, duquel jaillit un pénis plus droit qu’un obélisque. Elle l’observe et soupire d’aise. Elle ôte sa culotte, remonte un peu sa jupe et s’aide d’une chaise pour monter sur la table. D’un coup, d’un seul, elle enfourche sa proie bien dure qui à son contact pousse un« Huugh » d’agréable saisissement. Elle le chevauche, se déplace tantôt en haut, tantôt en bas, se tortille de gauche à droite, avance son bassin vers l’avant, pour bien sentir Mahesh à l’intérieur d’elle. Marc regarde, jaloux. Le coursier est aux anges. La jouissance vient vite. Un petit« Houuu » rauque pour elle, un« Han » bref, indien, pour lui. Une incompréhensible rumination intérieure pour Marc, tant les mots durs sont nombreux. IX — ...