1. Les Chaleurs de Sophie


    Datte: 08/04/2020, Catégories: Première fois

    ... sexe. Retard à l'allumage. Besoin d'initiation avant naturelle jouissance. La culture est-elle un précurseur obligatoire ? Ça je peux comprendre, ce fut pareil pour moi, en son temps ... lointain. La gamine était inerte indifférente et je pensais, elle est trop jeune et mon rôle est ingrat, oncle incestueux en devoir d'éveiller une enfant trop jeune pour s'allumer spontanément aux pulsions de sexe. Pourtant son petit corps se collait chaud à ma hanche et je sentais bien qu'elle s'y sentait bien. Elle a brusquement attrapé ma taille de son bras et, réponse à mes trois doigts sur son gousset, m'a serré contre elle, bassins fort accolés. Ma main sur ses cuisses, légère, large, empaumante de ses douces chaleurs, s'est lentement refermée sur le tissu moite nid de ses intimités. Gamine blonde, sa toison était fine et n'avait pas prétention à cacher le creux d'elle. La culotte était lâche de ses ourlets. Ma main a écarté le fond de coton et mes doigts, imprégnés du jus d'elle, ont descendu le court périnée pour découvrir la porte étroite plissée. La parcourir, en avant en arrière, inspecter du charnu le sphincter palpitant, oser un léger pousser introspectif, caresser comme effleurement la fine crête en avant. Son regard restait figé sur horizon lointain et rien sur son visage ne permettait de penser qu'elle trouvait à cette caresse un quelconque intérêt. J'étais presque dépité. Mais alors que j'allais renoncer, pensant qu'elle était, Lolita trop jeune, fruit insuffisamment mature, ...
    ... alors un geste qu'elle a fait m'a brusquement rassuré. Mais j'avoue qu'un baiser m'eût mieux convenu. M'aurait paru plus approprié. Non, ce geste qu'elle fit, ce ne fut pas un baiser de lèvres juvéniles amoureuses. Non. Ce geste qui a tout changé, qui m’a conforté, c’est sa main à ma nuque, autoritaire impérieuse, pour l'attirer pour l'abaisser pour la mener, l'amener au sanctuaire de ses voluptés. J'étais tombé à genoux sur le tapis turc tarabiscoté, lèvres posées presqu'en retenue sur la légère ombre blonde au creux de ma paume ouverte. Avant même d’effleurer le papillon de ma langue, j’ai donné à mes doigts une longue giclée de salive claire. Les trois sont redescendus, glissant sur la fine crête du périnée, le plus grand badigeonnant le soleil plissé pour mieux pénétrer au fond de son être. Passé l'étroit, le tendre faisait caverne et m'a accueilli de mille replis chauds et vivants. Elle cambrait son bassin vers ma main et son profond faisait comme écrin à mon majeur longuement planté en son fion. Elle avait relâché ses genoux et ses cuisses s'étaient ouvertes, tombées reposant écartelées sur le tissu ouvragé du dessus de lit soyeux tandis qu’elle s’était renversée sur le dos, couchée sur le canapé. Ses doigts étaient enfouis dans ma chevelure et me guidaient, aiguille de phonogramme sur le sillon de ses plaisirs. Mon introspection montait haut en elle. Elle avait la tête rejetée en arrière, bouche ouverte, figée de stupéfaction. Ses intestins faisaient caverne agitée de ...
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