Josette
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
prost,
nympho,
gros(ses),
Collègues / Travail
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
tarifé,
attirgros,
attirlaid,
J’étais étudiant à l’époque, ou tout du moins inscrit à la fac car je n’y mettais en réalité presque jamais les pieds. La dépression couvait, insidieuse, elle s’emparait de tout mon être. À 21 ans, je restais enfermé des jours durant dans ma piaule, sans voir personne et sans parler à qui que ce soit. J’habitais un petit meublé, rue Gustave Trécy, un immeuble délabré à la façade lépreuse. La concierge était une ex-prostituée, une femme gouailleuse avec une voix portante, ouvertement de droite et même d’extrême-droite. Elle vomissait à longueur de journée sur les bougnoules, cause, selon elle, de tous les maux de la terre, et en particulier de sa décrépitude. Une connaissance de mon parrain (dans quelle circonstance l’avait-il connue, cette vieille pute ? mystère), c’est grâce à lui que j’avais trouvé cette piaule. Claudine Vivier qu’elle s’appelait, cette concierge, Madame Cloclo pour les intimes, en particulier pour le vieux monsieur du troisième, je les soupçonnais d’ailleurs de fricoter ensemble. Ce vieux facho, pourfendeur d’anarchistes, était toujours fourré dans sa loge. Lui contait-il fleurette et baisaient-ils ensemble ? En ce qui me concerne, j’habitais au cinquième, juste sous les toits, cinquième sans ascenseur, une chambre de bonne minable, meublée avec le pire mobilier qui soit, et pour toute distraction un radiocassette grésillant. Et je restais, enfermé des jours durant dans le froid, à griffonner des pensées obscures sur des feuilles de papier qui ...
... rejoignaient invariablement la poubelle. Le reste du temps j’étais en plein délire. o-o-o-o-o-o-o-o Josette venait trois fois par semaine dans cet immeuble. Femme de ménage entre deux âges qui n’avait pas inventé la poudre, cette brune solidement charpentée avait un cul mastoc et des hanches hyper-larges, et surtout une énorme verrue sur la joue gauche et une autre sur le nez. Ces gros boutons disgracieux marquaient un faciès déjà passablement ingrat. Elle s’affairait le plus souvent dans les parties communes, le hall, la cage d’escalier. Les chiottes, quant à elles, étaient sur le palier et les douches inexistantes, il fallait se débrouiller autrement. Moyennant finance, on pouvait également l’employer pour faire le ménage dans nos piaules. La plupart des résidents de l’immeuble étaient des hommes célibataires ou alors des séparés, des divorcés. La mère Vivier était hostile à la présence de femmes, « toutes des fouteuses de merde », selon elle. Pour avoir sa place dans l’immeuble, mieux valait être homme, blanc, poli et fermer son clapet. Comment en suis-je arrivé à fantasmer sur Josette ? Ce n’est pas à cause de ses joues très rouges, et je ne suis pas plus tombé sous le charme de sa blouse sans forme… Tout a commencé un après-midi de printemps, par quelques bruits entendus à travers une cloison : — Ah, putain, elle te plaît, ma queue, t’aimes ça, sucer ma bite, ah putain qu’est-ce que c’est bon ! Allez bonniche, montre-moi tes miches que je me branle avec. Tout ceci suivi de ...