Josette
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
prost,
nympho,
gros(ses),
Collègues / Travail
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
tarifé,
attirgros,
attirlaid,
... femme. o-o-o-o-o-o-o-o Quand Josette frappa à la porte ce jour-là, la tension était pour moi à son comble. Pour preuve, je me mis à bégayer comme un débile mental. Elle déboula immédiatement avec tout son attirail, son aspirateur qui faisait un raffut d’enfer, impossible dans ces conditions de lui tenir causette. J’étais assis en tailleur patiemment sur le lit, je regardais évoluer son gros derrière, c’était déjà un beau spectacle. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour faire le tour de la pièce, elle passa même un petit coup sous le lit, s’activant avec une énergie peu commune, sans trop faire attention à moi. Je la regardais pourtant intensément, je n’arrêtais pas de la déshabiller des yeux, sachant pertinemment que j’étais absolument incapable de me jeter sur elle pour lui faire sa fête et encore plus incapable de lui conter fleurette. Toujours est-il que, de mon côté, le temps passait très vite, un petit passage de chiffonnette sur le miroir, sur les vitres et sur les meubles, la serpillière sur le linoléum et voilà, terminé, vite fait, bien fait. — Voilà monsieur, annonça-t-elle triomphalement. Vous désirez autre chose ? Pour sûr, plein de choses, ma cochonne, mais je fus totalement incapable d’ajouter quoi que ce soit. Déjà la porte se refermait et la déception pointait son nez. Dans un sursaut désespéré, j’essayai de l’appeler : — Madame… Comme si elle s’attendait à ça, elle rouvrit de suite la porte : — Oui ?— Je voulais vous demander…— Quoi ?— … si vous ...
... pouviez revenir la semaine prochaine…— Oh, vous savez, ce n’est pas très sale chez vous.— Oui, mais… Je tournais autour du pot, incapable de dévoiler mes pensées les plus sombres. Pour faire diversion, je me mis à parler du voisin qui travaillait, me semble-t-il, beaucoup plus ces derniers temps. — Vous parlez de monsieur Jules ?— Le voisin juste à côté.— Oui, c’est ça, monsieur Jules. Oh, en ce moment il ne travaille pas, je crois que sa mère est très malade et qu’il est parti quelque temps à son chevet.— Vous faisiez le ménage chez lui ?— Oui, effectivement, ça m’arrivait de temps en temps. Son visage s’éclaira alors, comme si elle venait soudain de comprendre là où je voulais en venir, un large sourire vaguement moqueur apparut au coin de ses lèvres. Elle se tenait devant la porte ouverte et ne semblait décidée ni à entrer ni à sortir. Il y avait quelque chose d’ironique sur son visage, comme si elle prenait un malin plaisir à me laisser dans l’embarras. De mon côté, je ne savais vraiment plus quoi dire, le rouge me montait aux oreilles, j’étais pris en flagrant délit de fantasmer un max : — Et vous le connaissez depuis longtemps ? finis-je par demander.— Qui ça ?— …— Monsieur Jules ?— Oui… eus-je du mal à articuler.— Il se montre vraiment très gentil avec moi et aussi un peu coquin… il est surtout très généreux… Ainsi c’était donc ça, elle faisait vraiment la pute. J’étais passablement écœuré. J’avais espéré quoi ? Me trouver en face d’une grosse vicieuse lubrique ? Devant ma ...