1. Josette


    Datte: 08/04/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, prost, nympho, gros(ses), Collègues / Travail soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral tarifé, attirgros, attirlaid,

    ... gémissements, de râles et de bruits douteux qui ne laissaient aucun doute sur ce qu’ils étaient en train de faire. — Ah putain, ce cul ! Un vrai garage à bites… Une demi-heure plus tard, j’ai entendu la porte de mon voisin s’ouvrir et je suis sorti à mon tour sur le palier pour voir ce qu’il en était. Je me suis retrouvé face-à-face avec Josette qui sortait justement de chez le voisin. C’était donc avec elle qu’il avait baisée. Elle était complètement hagarde, elle avait vraiment la tête de quelqu’un qui vient de se faire bien défoncer. J’ai croisé son regard mais, ne sachant trop quoi dire, j’ai passé mon chemin et me suis réfugié aux WC où je me suis passablement branlé. Cet épisode m’a trotté dans la tête pendant près d’un mois. À chaque fois que Josette venait dans l’immeuble, je passais mon temps à l’épier mais le voisin n’était pas là (peut-être travaillait-il maintenant en journée ?) et il ne se passait pas grand-chose, si ce n’est le bruit du balai dans les escaliers. Je fantasmais maintenant à mort sur la femme de ménage, je me demandais s’ils étaient beaucoup dans l’immeuble à profiter de ses charmes et si elle se faisait payer. À moins que ce ne soit vraiment une grosse salope, une nympho qui adore se faire baiser ! Je l’imaginais déjà dans ma piaule, à moitié dépoitraillée, prête à se soumettre au moindre de mes désirs. Si j’en juge par ce que j’avais entendu, cela devait être sacrément chaud au lit. En la regardant, elle n’en avait pourtant pas l’air. D’un ...
    ... autre côté, je ne savais pas trop comment l’aborder… Jusqu’au jour où j’ai eu l’idée d’aller voir la mère Vivier, et je lui ai fait part de mon souhait de faire faire le ménage dans ma piaule. — 50 francs de l’heure, m’a-t-elle répondu, peu aimable, et pas avant la semaine prochaine. En attendant le moment fatidique, je me masturbais plusieurs fois par jour en pensant à Josette. Lorsque je la croisais dans l’escalier, elle ravivait tous mes fantasmes. Même ses verrues étaient pour moi aphrodisiaques, elles me servaient de repère pour l’imaginer en train de me sucer. Et puis ses hanches hyper-larges, humm, un vrai délice ! Un jour je me suis retrouvé juste derrière elle en train de gravir l’escalier. « Un vrai garage à bites ! » avait dit mon voisin. Ma seule crainte, c’était de me sentir un peu perdu dans ce derrière énorme. Et si elle ne voulait pas ? si elle me rejetait ? Elle pourrait rire de moi ; je ne savais trop comment m’y prendre. Pourrais-je la négocier comme une vulgaire catin ? Ou fallait-il y mettre plus de formes ? Plus le jour en question approchait et plus j’étais fébrile. Cette femme-là avait l’âge de ma mère et donc de l’expérience. De l’expérience et un mari, je l’avais entendue parler deux trois fois de son mari avec la concierge. C’était un alcoolo fini, chauffeur-livreur de son état, elle n’était, semble-t-il, pas très heureuse avec lui. Ils n’avaient pas pu avoir d’enfants et il préférait traîner dans les bars plutôt que de rester en tête-à-tête avec sa ...