Six "sions" pour une scission. (6)
Datte: 09/04/2020,
Catégories:
Transexuels
... le collier. Pour moi, c’était clair. J’avais fait une erreur en venant ici. Je pouvais et devais définitivement oublier Lucille, oublier la queue de Monsieur, et peut-être même oublier cette vie de femme. J’allais reprendre sérieusement les études et retrouver ma vie rangée. Je n’avais plus qu’à signer cette décharge sans valeur, et vite aller trouver quelqu’un qui aurait les outils pour me défaire de cette cage et ce collier. J’allais disparaître de la vie de ces deux monstres. Je découvris alors la décharge en question : ‘Je, soussigné Arnaud L., reconnu coupable et reconnaissant culpabilité pour des faits de harcèlement moral et sexuel, ainsi que de viols sur la personne de Lucille C.’ « Hmmm hmm ! protestai-je, de manière toujours aussi inaudible, alors qu’ils me déliaient les poignets et me tendaient un stylo. » Je ne pouvais tout de même pas signer cela ?!? ‘Clac !’ Un premier coup de cravache venait de tomber sur les cuisses. Puis ils me mirent à quatre pattes sur le lit, les chevilles toujours attachées, et la décharge devant moi. ‘Clac !’ Cette fois-ci, c’était tombé sur mes fesses. Avant que d’autres coups de suivent. ‘Clac !… Clac !… Clac !…’ Je ne comptais plus les coups. Ils pleuvaient. Lucille et Monsieur se relayant pour ne pas faiblir. Mes fesses brûlaient. Je n’en pouvais plus… et je finis par signer ce document pour enfin me libérer de cette situation qui, je n’osais l’avouer, me plaisait et m’excitait, mais c’est justement cela qui me faisait peur. Je ne ...
... devais surtout pas rechuter. Monsieur s’empara aussitôt du document et s’exclama : « Bien ! Lucille, habille-la et prépare-la. Nous allons la ramener chez elle. » Je sentis alors une seringue s’enfoncer dans mon dos. Tout devint alors opaque. Je vacillai, avant de m’effondrer sur le lit… Je me réveillai à l’arrière d’une voiture, Monsieur au volant, et Lucille sur le siège passager, qui se retourna et s’adressa à moi : « N’aie crainte, petit sac à foutre, c’est fini, nous allons te dire adieu. Allez descends ! » La voiture s’arrêta juste devant la fac. Je fus jetée hors du véhicule par Monsieur qui redémarra aussitôt. J’étais donc devant la fac, en pleine heure de sortie des cours et, je venais de m’en rendre compte, j’étais vêtue en femme, de la tête aux pieds. Ou plutôt, en pute. Je ne portais que mon énorme fausse poitrine, une guêpière rouge parfaitement visible sous une nuisette noire transparente, des bas résilles et un porte-jarretelles noirs, et des escarpins noirs aux talons de 12 centimètres. J’avais bel et bien l’air d’une pute. Une pute de deux mètres de haut avec les talons. Je vis mon reflet dans la vitre d’une voiture. J’étais maquillée comme une pute, comme Lucille savait si bien le faire, et avec notamment un regard élargi par d’épais coups de crayon, et d’énormes faux cils. Tout le monde me regardait. Je reçus plein de remarques crues : « Arnaud ?!? Mais tu es une trav ? » « Ouah les gars regardez cette pute !! » Que des moqueries, et même venant de mes amis. ...