1. Six "sions" pour une scission. (6)


    Datte: 09/04/2020, Catégories: Transexuels

    ... Je rentrai le plus vite possible à la résidence, non sans être suivie par plusieurs mecs. Une fois dans ma chambre, je pensais avoir trouvé le calme, lorsque j’entendis frapper à ma porte, puis une voix s’exclama : « Arnaud, c’est Marc, ouvre-moi ! » Marc était mon meilleur ami. C’était bien le seul qui pourrait m’aider dans cette situation. J’avais toute confiance en lui et lui ouvris donc la porte. « Entre vite ! — Mais qu’ est-ce qui t’a pris de te balader ainsi ? Tu as perdu un pari ? — J’ai complètement déconné. J’ai fait des choses qui me dépassent totalement et aujourd’hui j’en paie les pots cassés. — Qu’est-ce que tu as fait ? Et pourquoi on ne t’a plus vu depuis plusieurs semaines ? » Je lui racontai toute l’histoire. Depuis ma rencontre avec Monsieur jusqu’à mon retour à la fac dans cet accoutrement. « Voilà ! J’ai complètement pété les plombs. — Mais comment as-tu pu en arriver là ? — Je crois que j’étais devenue accroc à la queue. Je sais, c’est n’importe quoi, et c’est fini maintenant. Mais si tu savais tout ce que j’ai fait. Et je plaisais en femme. C’était nouveau et vivifiant pour moi. — Bah faut avouer que t’es plutôt bonne comme ça ah ah ! s’esclaffa Marc. » Je vis une bosse se former sous son pantalon. Il bandait, c’était clair. Et il remarqua que je le regardais à cet endroit précis. « Salope ! me dit-il à voix basse, sans grande assurance. — Pardon ? — Salope ! répéta-t-il plus fort. » Je frissonnai, et il s’en aperçut. « T’es devenue une vraie pute en ...
    ... fait, un vrai garage à bites ! » Et il sortit sa queue, tendue et d’un calibre équivalent à celle de Monsieur. Il l’approcha de mon visage. « Non Marc, s’il te plaît, pas toi, j’ai besoin de sortir de ce merdier. » Il ne me laissa pas aller plus loin, me prit la tête à deux mains. Lui debout face à moi, et moi assise sur le bord du lit. Il approcha mon visage, força un peu, puis je perdis tout contrôle et ouvrit la bouche. Je me sentais merveilleusement bien, à mesure qu’il me pilonnait la gorge sans retenue. Cela dura une dizaine de minutes. J’avais un début de crampe à la mâchoire, lorsqu’il sortit son sexe et m’aspergea le visage de sa semence. Il s’empara alors de son téléphone et me prit en photo, le visage couvert de sperme. « T’as intérêt à être sage ! » Il partit. Je venais de perdre mon meilleur ami. Décidée à mettre fin à tout cela, j’ôtai mes vêtements de femme, nettoyai mon visage et me démaquillai, avant de me coucher. Le lendemain, c’est en homme, pour la première fois depuis longtemps, que j’allais en cours, bien décidé à faire le nécessaire pour rattraper le retard accumulé durant ces nombreuses semaines d’absence. Tout se passa bien durant le premier cours, même si je sentais les regards insistants de plusieurs personnes dans l’amphi. Mais tout bascula lorsque j’allai aux toilettes, lors de la pause déjeuner. Un étudiant que je ne connaissais pas força le passage et entra dans la même cabine que moi. « Alors comme ça t’es une pute ? Où sont tes nibards ? Où est ...
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