Six "sions" pour une scission. (6)
Datte: 09/04/2020,
Catégories:
Transexuels
... ton maquillage ? Et ta jupe ? Et tes talons ?… Allez tant pis, je vais fermer les yeux. » Il sortit sa queue, et attendit. Je n’avais qu’à crier et il m’aurait laissée tranquille, mais ce fut plus fort que moi, je le suçai goulument. J’avalai même tout son sperme afin de ne pas en garder la moindre trace sur mes vêtements. Ce fut très bref. Pas un « merci ». Il repartit, vidé, tandis que moi je me sentais humiliée, mais excitée. Cela ne devrait cependant plus se reproduire. Je retournai en cours, après le repas, et me plaçai cette fois-ci au dernier rang, afin d’éviter les regards de mes camarades. Deux étudiants vinrent alors s’assoir de chaque côté de moi. Le cours débuta normalement, lorsque l’un deux, à ma droite, me prit la main et la posa sur son sexe, dont je pouvais sentir l’érection à travers son pantalon. Le second, à ma gauche, en fit de même. Je voulus retirer mes mains, mais quelque chose m’en empêcha. Mon désir le plus profond, probablement. « Allez, assume ce que tu es, me dit l’un d’eux, ôtant l’écharpe que je portais pour dissimuler mon collier métallique indiquant que j’étais une pute à disposition. » La situation m’excitait trop. Je m’allongeai sous la table, et suçai alternativement ces deux queues. Pas énormes, mais j’y prenais toutefois beaucoup de plaisir. Je reçus la semence de l’un d’eux sur le visage, l’autre dans les cheveux. Lorsque je me relevai, tout le monde me regardait, y compris le prof, qui nous exclut tous trois de cours. Je déambulai ...
... alors dans les couloirs, le visage toujours plein de sperme. Je savais que je faisais une énorme erreur, mais j’avais perdu tout amour propre. J’étais une pute, et j’assumais. Je reçus une convocation dans le bureau du directeur de la fac, le soir-même après les cours. Je ne me faisais pas vraiment d’illusions. J’allais être définitivement exclue. À moins que… Je décidai d’aller à cet entretien en femme. Ou plutôt en pute. Exactement dans la même tenue qu’à mon retour à la fac, la veille. De toute façon, tous mes autres vêtements étaient chez Monsieur. J’entrai donc dans le bureau du directeur. « Écoutez Monsieur, lui dis-je. Vous allez m’exclure, je le sais. Mais j’ai trop besoin de ce diplôme. Sans lui, je n’ai rien. Je suis prête à tout pour l’avoir. » Et sans ajouter le moindre mot, je m’agenouillai pour lui faire comprendre que j’étais toute à lui. rzdrppey L’homme, âgé d’une soixantaine d’années, au physique pas franchement avantageux avec son crâne dégarni et son énorme ventre, ne se fit pas prier et, tout en retournant un cadre faisant apparaître une photo de sa femme et ses enfants, défit sa ceinture et baissa son pantalon. Je lui fis une fellation comme il n’en avait probablement jamais reçue de sa femme. J’exagérai les bruits d’étranglement. J’étais la pute qui lui faisait croire avec brio qu’il était un bon coup. J’étais surtout la pute qui sauvait sa place à la fac. Il finit vite, dans ma bouche, me demandant d’avaler devant lui. Ce que je fis sans hésiter, mon ...