1. La dernière séance


    Datte: 26/09/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail noculotte, Oral occasion,

    ... dans le couloir, Sarah sort des toilettes, se plante devant moi et me regardant bien dans les yeux, me remet sa culotte avant d’entrer dans la salle, assurée comme à son habitude ! — Tu es tout abîmée, lui dit Marion la plus jeune.— Tu as vu, de quoi j’ai l’air ! Drôle de déguisement pour notre dernière rencontre, tu ne trouves pas ? La petite fille rit de bon cœur et tout le monde prend le relais ! Cette dernière séance se déroule dans une ambiance sereine, on a pu se rendre compte à quel point les liens au sein de la famille, entre mère et filles, s’étaient grandement assainis : le travail leur a été profitable. Et pour moi, un émoi bien particulier, avec la main au fond de la poche, la culotte entre les doigts, me permettant de mettre de temps en temps les doigts à mon nez pour goûter aux effluves. Et aussi quelques regards échangés entre Sarah et moi, plus soutenus qu’à notre habitude. Passé le temps des au revoir à la famille et la porte refermée, nous nous sommes alors retrouvés tous les deux. — Ma culotte, me dit-elle avant même que nous soyons de retour dans la salle. À mon grand regret, je l’ai sortie de ma poche pour la lui rendre. Elle a aussitôt pris la direction des toilettes. De mon côté, quelques feuilles, mon stylo, j’ai pris place sur ma chaise. Elle est revenue alors, comme si de rien n’était, prendre place à mes côtés, debout en prenant appui sur la table comme elle le faisait souvent. — Alors, cette dernière, qu’est-ce que tu en retiens ? lui ...
    ... demandais-je.— Heu… je ne sais pas trop… ça s’est bien passé… c’était bien non ?— C’était bien ? Tu veux dire quoi par-là ?— Ben, elles ont passé un bon moment, je pense.— … et toi ?— Moi ? Ben… c’était… pas… si, mais… Tandis qu’elle cherchait ses mots, elle cherchait aussi une autre position, se redressant tout d’abord. Puis, les mains tenant toujours le bord de table, elle prit à nouveau appui sur la table, les pieds glissant tout doucement sur le sol, ce qui a eu pour effet de relever sa jupe suffisamment pour me laisser entrevoir le haut de son bas et même une jarretelle ! — Peut-être perturbée à cause de ça ? lui désignant ce petit détail qui m’apparaissait alors. Et pour bien lui signifier à quoi je faisais référence, je pivotai légèrement sur ma chaise et posai un doigt sur la dentelle. Puis un second, jouant prudemment avec le fermoir et le bord de son bas, sans toutefois entrer en contact avec sa peau. Elle ne dit rien, ne fit rien ! Qu’elle ne dise mot, je pris cela pour un consentement de sa part. Je posai alors entièrement ma main, le contact avec sa peau la fit frissonner légèrement. J’ai alors quitté ma chaise pour venir m’agenouiller devant elle. J’ai posé mon autre main sur son autre cuisse. J’avais à présent mes deux mains sur le côté extérieur de ses cuisses, je jouais avec la dentelle de ses bas, passant un doigt sous la lanière de son porte-jarretelles, risquant mes pouces, doucement, mais sûrement, vers l’intérieur. Je mis un peu plus de pression, elle avait la chair ...
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