Six "sions" pour une scission. (5)
Datte: 10/04/2020,
Catégories:
Transexuels
... prit un mouchoir et me nettoya le visage. « Viens dans mes bras maintenant, ma belle. » J’allais me blottir contre elle, lorsque la voix de Monsieur retentit : « Est-ce qu’une bonne chienne voudrait bien passer l’aspirateur au rez-de-chaussée ? » Et sans mot dire, je laissai Lucille sur place et descendit exécuter l’ordre de Monsieur. Lorsque ce fut chose faite, il descendit, et me donna ma récompense, sur le canapé. Même tarif : de la baise très mouvementée. J’ignorais qu’un sofa pouvait offrir un tel panel de positions possibles… Et encore et toujours une éjaculation faciale, et encore l’ordre étrange de le faire nettoyer par Lucille. De toute façon, je n’étais pas en mesure de réfléchir à l’absurdité de cet ordre. Durant chaque séance de baise, je ne pensais qu’à gober sa queue et à hurler mon plaisir. Puis après chaque séance, je n’avais en tête que le prochain ordre de Monsieur, et la récompense qui suivrait. Lucille m’essuya encore le visage. Mais elle renonça cette fois-ci à me faire la morale. Elle voulut toutefois m’enlacer lorsque Monsieur demanda à ce que la serpillère soit passée. Ce que je fis aussitôt, abandonnant de nouveau Lucille. Et toute la journée, ce fut ainsi. Les ordres de Monsieur se succédaient, et il me défonçait la chatte en remerciement. Mais quand allait-il s’arrêter ? Nous en étions à 5 séances torrides après le dîner, et alors que Lucille m’annonça son bonheur d’enfin passer du temps avec moi, durant la nuit, Monsieur la corrigea : « Non, ce ...
... soir, je veux une chienne dans mon lit. — Nous ne sommes pas tes chiennes, le reprit Lucille, arrête avec ce mot ! » C’était inutile. La bite de Monsieur était aussi endurante que mon cul était demandeur. Il brûlait, mais en redemandait. Je passai donc la nuit avec Monsieur. Il me baisa dès le début de la soirée. Comme d’habitude, je ne pus retenir mes cris de jouissance. Puis une heure après, il me donna un ordre vraiment étrange, que je pris avec le sourire, encore une fois sans réfléchir : « Petite chienne, je voudrais dormir, mais je voudrais une berceuse… — Je n’en connais pas Monsieur. — Il y en a une qui me plaît bien et que tu connais très bien. — Ah oui ? Laquelle ? — Eh bien je veux t’entendre crier comme quand je te défonce la chatte. » Pour être étrange, c’était étrange. Je rigolai, mais je me rendis compte qu’il était sérieux. Alors je commençai mon concerto pour cris et gémissements. « Huuum… oui, c’est bon… huumm… Ouuuiii ! — Continue, me chuchota Monsieur, inhabituellement discret. — Huuum, chuchotai-je à mon tour, croyant comprendre qu’il voulait quelque chose de calme pour s’endormir. — Mais non idiote, enchaîna-t-il à voix basse, toi, tu dois hurler ! — Aaaah ! Ouiii ! Ouiiii ! Encore !! » Monsieur me fit signe que je m’y prenais bien, et que je devais continuer pendant au moins une heure. Ce que je fis, alors qu’il enfila des boules Quiès et s’endormit. Et mon récital terminé, je finis par m’endormir à mon tour. Le lendemain, matin, une nouvelle journée qui ...