Six "sions" pour une scission. (5)
Datte: 10/04/2020,
Catégories:
Transexuels
... fut la copie conforme de la première. Aux ordres de Monsieur que j’exécutais sans broncher sous le regard effaré et impuissant de Lucille, succédaient les « récompenses » sous forme de parties de jambes en l’air toutes aussi agitées et bruyantes les unes que les autres. Et toujours cette faciale finale, et Lucille qui m’essuyait. Chaque nuit, je dormais avec Monsieur, avec toujours cette demande particulière de crier bien fort pour « l’aider à dormir ». Les jours se succédaient ainsi durant près d’un mois. Je n’avais même plus mal au cul, mais le plaisir était toujours au rendez-vous. Le pied ! Un jour, alors que je tendis le visage pour le bouquet final de Monsieur, celui-ci s’exclama : « Non, aujourd’hui, je vais être bon. Tu as le droit d’avaler. » Ce que je fis avec un plaisir non dissimulé, avant de rejoindre Lucille, comme à l’accoutumée. « Ne te fatigue pas, ma chérie, cela fait un mois que nous sommes ici, et je n’ai jamais eu le temps de t’étreindre plus d’une minute. Un ordre va retentir dans quelques secondes et tu vas accourir comme une moins que rien. » Une « moins que rien », j’aimais cette appellation. Quelle honte… mais j’aimais désormais avoir honte. Nous attendions donc bêtement l’ordre de Monsieur, qui n’arriva pas. « Embrasse-moi, me supplia Lucille. — Je ne sais pas si c’est une bonne idée, lui répondis-je. — J’en meurs d’envie. Cela fait un mois que j’ai besoin que l’on me touche, que l’on m’embrasse. Que TU m’embrasses, Jess. Ne m’oublie pas ! » Nous ...
... commençâmes à nous embrasser, lorsqu’elle eut un geste de recul. « Mais… tu sens le sperme ! tgatllju — C’est ce que je voulais te dire, je ne crois pas que ce soit une bonne idée… » Mais elle se jeta sur ma bouche, y fourra sa langue, et nous échangeâmes un merveilleux baiser. De ceux que Monsieur ne saurait jamais me donner. Je recommençais à comprendre pourquoi j’étais tombée amoureuse de Lucille, lorsque la voix de Monsieur se fit entendre, alors qu’on ne l’attendait plus. « Une chienne pour venir nettoyer la salle de bain ? » Pour une fois, je ne bougeais pas. « Bordel ! Mais l’une d’entre vous va-t-elle finir par se bouger ? Bande de soumises écervelées ! — Nous ne sommes pas tes soumises, s’écria Lucille, interrompant ainsi notre baiser. — Je vais te dire ce que vous êtes, cria Monsieur, depuis la salle de bain. Vous êtes des trous à bites, des objets affamés de queue, des pompes à jus, des… » Les insultes de Monsieur m’avaient complètement excitée et hypnotisée et je finis par remettre à plus tard le magnifique baiser de Lucille et moi, pour rejoindre Monsieur dans la salle de bain. Je fis le ménage très rapidement, et au moment de rejoindre Monsieur dans sa chambre pour l’une de ses récompenses dont je ne me lasse jamais, je vis par la porte entrouverte de sa chambre, Lucille en train de se masturber. Je ne souhaitais pas la déranger et suis donc passée sans me faire remarquer. La coquine… elle était probablement excitée par notre baiser. Elle pouvait bien se faire ...