Six "sions" pour une scission. (5)
Datte: 10/04/2020,
Catégories:
Transexuels
... plaisir. J’entrai dans la chambre de Monsieur, et alors que je pensais devoir le sucer pour le remettre d’aplomb alors que nous baisions encore moins d’une demi-heure avant, il était déjà au garde à vous, en train de se branler comme pour bien maintenir son érection et être prêt dès mon arrivée. Je m’agenouille devant lui pour prendre sa queue en bouche, lorsqu’il me retourne soudainement et m’encule sans ménagement. Je hurle directement : « Aaaah ! Ouiii ! Oh oui ! Oh ouiii ! Encore !! — Prends ça salope ! — Oh ouii Monsieur, encore ! C’est trop bon ! — Il n’y a que moi qui puisse te donner autant de plaisir, allez encaisse petite chienne ! — Je ne suis pas une chienne ! — Oh que si tu es une chienne, corrigea Monsieur, m’assénant une énorme fessée. Et la prochaine fois que tu rechignes, assume dis-le à voix haute. Tu crois que je ne t’ai pas entendue chuchoter que tu n’es une chienne… — Je n’ai rien dit, lui répondis-je. — Tu n’as vraiment rien dit, me demanda-t-il ? — Non, rien à part mes cris en réponse à vos insultes qui m’excitent tellement, continuez s’il vous plaît ! — Ta gueule, ferme-la une minute ! » Et il ressort sa queue, avant de coller son oreille contre le mur donnant sur la chambre de Lucille. J’en fis de même, et de petits gémissements se firent entendre. « Huuum, ouiii, mets-la-moi bien profond ! Baise-moi ! » Ces mots venaient bien de la chambre voisine, où Monsieur se précipita, avant que je ne lui emboîte le pas. Surgissant dans la chambre, nous ...
... tombâmes sur Lucille, toujours en train de se masturber. « Laissez-moi tranquille, hurla-t-elle, les doigts dans la chatte et se caressant le clitoris de l’autre main. » Elle était trempée. « Viens, Jess ! Rejoins-moi ! » J’attendais l’accord de Monsieur qui m’adressa un regard approbateur. Je me jetai donc sur Lucille et commençai à lui lécher la chatte. C’était ma première chatte depuis des lustres, et je n’avais jamais vraiment su y faire. J’étais vite perdue et il était manifeste que Lucille ne prenait aucun plaisir à mes coups de langue hasardeux. « Non, embrasse-moi plutôt ! Comme tout à l’heure. » Nous échangeâmes alors un langoureux baiser. J’y prenais un plaisir immense, et j’imaginais qu’elle aussi, vu notre dernier baiser, quelques minutes plus tôt. « Tu ne sens plus le sperme, me demanda-t-elle ? — Non, j’ai profité de mon passage dans la salle de bain pour me brosser les dents, tu peux y aller tranquille… — Ah… euh… répondit-elle, hésitante. Oh ! et puis merde ! » Et elle se rua sur la queue de Monsieur, me laissant seule avec ma déception et à mon grand étonnement. Monsieur, lui, ne sembla pas étonné le moins du monde. Il fit honneur à la bouche de Lucille, avant de lui ravager la chatte, dans un torrent de mouille. C’est elle qui hurla cette fois-ci : « Prends-moi ! oh ouiii !! Prends-moi ! — Vouvoie-moi, salope ! — Prenez-moi ! Je vous en supplie ! — Prenez-moi qui ? — Prenez-moi, Monsieur, je suis votre chienne ! Défoncez-moi ! — Voilà ce que je veux entendre ! ...