1. Un stage très formateur (2)


    Datte: 12/04/2020, Catégories: Hétéro

    ... vous vous en seriez douté. On se place face à face à une table. On entame la discussion, entrecoupée par des interpellations de personnes qui me reconnaissent. Karl en profite pour commenter l’effet suscité par ma venu. Ce a quoi je réponds : « - C’est normal, c’est l’effet petite robe noire. Je rentre tout juste des cours de bureautique, je n’ai pas pris le temps de me changer en tenue de combat pour venir ici. C’est vrai que je vous avez habitué à tout autre chose... » Et voilà comment dévier une conversation. Il enchaîne : « – Tu as une robe là ? " Nous entrons dans le vif du sujet. J’avance mes coudes sur la table, je me rapproche pour lui parler : "-- Oui, j’ai une robe... Tu veux voir ? » Lui dis-je en lui lançant mon regard le plus profond, pour qu’il ne doute plus de mes intention. Je fais pivoter mes hanches pour laisser apparaître mes jambes en dehors de la table. Il ose une œillade vers mes cuisses, il se penche un peu sur le bord de la table, puis jette un regard autour de lui et se reprend. En souriant : « – Ici, c’est compliqué... » Quelqu’un vient de passer le pas de la porte, me reconnaît et vient à ma rencontre. Je tends mon papier à Karl, et je lui indique l’endroit où il doit signer. Je discute avec Jean pendant quelques minutes, toujours assise à la table, laissant le temps à Karl de remplir mon papier. Mon interlocuteur prend congé, je tourne la tête vers Karl, en train de noter sur la couverture de mon dossier quelque chose en petit. Il lève les yeux, ...
    ... on se regarde, me tend mon dossier, avec son numéro écrit en haut à droite. « – Tu m’appelles ? » Qu’il me dit. Si tu savais... Je vais t’appeler très bientôt et je sens qu’on va bien s’amuser. Mes cuisses sont serrées l’une contre l’autre sous la table et je sens que je mouille.. Je me délecte encore quelques secondes de son regard dans le mien, j’ai regardé ses mains, belles et puissantes, que j’imagine déjà serrer mes hanches avec force. « – Promis, je t’appelle vite. » Et je sors fumer une cigarette avec l’équipe qui est en pause. Il m’emboîte le pas, je peine à cacher mon sentiment de jouissance victorieuse : je ne serai pas venue pour rien. Je termine ma cigarette, Alan m’attend un peu plus loin en voiture, je prends congé en promettant de revenir vite. Karl m’embrasse sur les joues pour me dire au revoir, en appuyant ses baiser, ses mains sur mes épaule. A très bientôt. Je regagne la voiture d’Alan, encore toute émue. Mais je ne lui dis pas tout de suite ce qui se trame dans ma tête. J’ai envie de garder encore un peu pour moi mon ticket pour de nouvelles aventures. Aussitôt en route pour chez moi, j’attrape mon dossier dans mon sac à main et enregistre le numéro dans mon téléphone. Puis je rédige un texto sans tarder : « Ici Lolita, voici mon numéro. Comme ça on est à armes égales. Ravie de t’avoir revue ! Je t’embrasse. » Il ne tarde pas à me répondre : « – Hey Lolita. C’est parfait car c’est réciproque. J’espère te revoir très vite. -- Je compte bien ne pas trop ...
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