1. On emménage sur l'île


    Datte: 14/04/2020, Catégories: grp, frousses, couplus, hotel, Transexuels pénétratio, double, fsodo, échange, humour, aventure, québec,

    Résumé : Paul et Marie se rendent à une fête organisée par des sosies transsexuelles, et cela tourne en orgie au moment même où une vague géante frappe le navire sur lequel ils se sont embarqués pour leur voyage de noces. Pas de décès mais beaucoup de blessés, dont Marie qui se retrouve à l’infirmerie tandis que le bateau, lui, se retrouve échoué sur une île au large du Groenland. Quant à Loric Renoir, notre voleur, il a un peu perdu la tête et discute avec Dieu tout en étant bien décidé à éliminer Marie, qu’il croit être une cambrioleuse professionnelle. Finalement, il est arrêté et expédié sous les verrous, mais peu après, il réussit tout de même à s’échapper. La situation se détériore un peu plus, le navire se déchire en deux peu à peu et les secours tardent à se pointer car la tempête fait toujours rage. Le commandant prend alors la décision de débarquer tout le monde sur l’île pour les installer dans un hôtel norvégien abandonné depuis plusieurs années. Tôt le matin, on nous avait ordonné de nous habiller chaudement, ce qui n’était pas un problème vu que tout le monde s’était préparé pour une visite au Groenland, et aussi d’emporter un minimum de bagages, mais quand même tout ce qu’il fallait pour quelques jours, car la tempête allait sévir encore un bon moment. À huit heures pile, après le petit déjeuner, on nous rassembla dans le grand hall du pont A et c’était parti pour l’évacuation vers l’île. On nous fit prendre les escaliers en file indienne vers les cales. ...
    ... Sac-à-dos à l’épaule, je suivais Marie qui suivait un matelot portant un revolver, un garde du corps fourni par le capitaine. Elle, elle était armée d’un gros foulard rouge et d’un bonnet assorti au cas où, car ce cher voleur, que le rouge rendait cataleptique, courait toujours. La petite blonde me talonnait, puis venait Skull et sa copine, une jolie acadienne un peu ronde, très attirante et, heureusement, on était loin du groupe de transsexuelles car elles s’engueulaient joyeusement un étage plus bas dans la file pour une vague histoire de bas nylon. Petit Jésus ! Loin devant, le commandant et ses officiers menaient la longue marche, des matelots la fermaient et ils étaient tous armés de fusils au cas où un ours polaire aurait eu une petite fringale matinale. Aussi incroyable que cela paraisse, on allait sortir du bateau par la cale cinq. Là, il y avait une grande déchirure dans la coque donnant directement sur le pied de la falaise, nous avait-on expliqué. En y entrant je ne reconnus pas la place, tellement c’était le bordel et glacial. Il y avait un bon pied de neige au sol et de grosses stalactites de glace un peu partout. Moi et Marie on chercha le conteneur des yeux, mais on ne put le voir dans la montagne de débris couverts de neige qui s’entassaient contre la paroi du fond. Impossible de dire si le sarcophage avait résisté à ce bouleversement. L’équipage avait dégagé un chemin jusqu’à l’extérieur, et une fois passée la gigantesque fissure, très prudemment à cause de ce ...
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