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Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (2)
Datte: 14/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Je vis surgir mon père. Il était sûrement allongé sur le tapis devant le canapé et, d’où j’étais, je ne pouvais pas le voir. Quand il fut debout je vis son gros sexe, rond comme un boudin, tendu à mort et luisant. Dans ma tête, mille réflexions se bousculèrent en une seconde. Évidemment qu’il ne pouvait être que là ! Évidemment qu’il laissait son meilleur pote et son fils baiser sa femme et qu’il y prenait du plaisir ! J’eus un haut le cœur. Je m’étais à peine fait ses remarques que ce fut mon frère qui émergea, juste en face de mon père, nu comme lui, bandant comme lui, et ausitôt une troisième tête, tante Lucie. Elle resta un instant à genoux, suça mon père tout en branlant mon frangin qui se tapèrent dans la main l’un de l’autre de satisfaction. J’étais au comble de la stupéfaction, de l’hébétude. Depuis quand cela durait-il ? Avaient-ils l’habitude de partouzer les deux pères et les deux fils, dans un remake "d’on a échangé nos mamans" sous la houlette de Christian qui semblait l’ordonnateur des festivités ? A l’évidence l’orgie avait été organisée et on avait profité de mon absence pour organiser cette partie fine. Je restai médusé à regarder ma mère se faire prendre par les mâles de l’autre famille et les mâles de la mienne baiser l’autre femme. Christian prononça un arrêt. - Maintenant les jeunes, montrez-nous ce que vous savez faire avec vos bites. En place mesdames ! Aussitôt, ma mère et tante Lucie s’agenouillèrent sur le canapé, côte à côte, les coudes appuyés sur ...
... le dossier, face à moi. Je me mis en retrait pour qu’on ne me vît pas. La porte vitrée était suffisamment ouverte pour que je puisse tout entendre. Maxime s’approcha de maman et sans hésitation la pénétra d’un coup sec par derrière lui arrachant un cri. Alban sembla hésiter à pénétrer tante Lucie (c’est quand même sa marraine) mais Bertrand lui mit la main sur l’épaule pour l’encourager alors que mon père et Christian le motivaient par des : - Vas-y prends-là, fais comme ton pote. - Ouais Alban vas-y bourre-là, je baise bien ta mère tu peux bien baiser la mienne, dit mon pote. Et il est vrai que ce dernier s’en donnait à cœur joie. Les fesses de maman claquaient sous les coups de bite rapidement et fortement assénés. Cela acheva de convaincre mon frère. Il se colla contre sa marraine, frotta sa bite contre la vulve d’après ce que je pus en juger, l’attrapa ensuite par les épaules et glissa lentement à l’intérieur. Puis il accéléra et se mit à la démonter en règle. Lesdeux femmes gémissaient toutes les deux. Leurs maris et Christian vinrent se faire sucer pendant qu’elle se faisaient troncher et ils changeaient de bouche à tour de rôle. J’étais écœuré, dégouté, choqué... voir ma mère se conduire comme une pute, mon père et mon frère sauter une autre femme sous les yeux de ma mère, tous enfin qui me paressaient des gros porcs sans morale. J’étais écœuré, dégouté et choqué mais je bandais. Je bandais ferme, je bandais dur. J’avais une irrépressible envie de me toucher et je m’en ...