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Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (2)
Datte: 14/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... voulais à mort. Comment pouvais-je être excité à la vue de ma mère qui était en train de se faire monter en levrette par un mec de mon âge et qui plus est par un pote ! Comment mon père et mon frère pouvaient laisser faire ? Et moi pourquoi restais-je là immobile, la gaule tendue, fasciné par ce spectacle ? Les trois daddies qui se faisaient sucer en me présentant leur dos et leurs culs, m’empêchaient de bien voir la scène mais ils ne m’empêchaient pas d’entendre, notamment ce que Maxime disait à Alban. - Putain, elle a de vachement bons gros nichons ta mère ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ! - La tienne aussi. - Ouais elle a de plus petits nibards mais elle prend sacrément bien la queue. - Vous avez raison les mômes, allez, on inverse ! ajouta Christian. Et aussitôt, Maxime quitta le cul de ma mère pour écarter Alban du cul de la sienne et prendre sa place. Alban n’avait sans doute pas compris la consigne et restait planté dans la croupe de sa marraine, mais Maxime l’en chassa en disant. - Aller ! on change de place. Vas tringler ta mère pendant que je m’occupe de celle- là. Alban se recula, prit sa gaule en main et regarda son pote se mettre à genoux, lécher l’arrière-train de sa mère et l’enfiler sans aucune hésitation, avec une habitude manifestement consommée. Alban resta là, interdit. - Ne reste pas planté comme ça mon garçon, enfile- là ! - Quoi ? - Vas-y enfile ta mère ! - Ma mère... non, j’peux pas... pas ma mère... A ce moment là, maman était en train de sucer ...
... Bertrand qui dit en regardant fixement mon grand frère. - Mais si vas-y baise là ! On l’a tous montée bien des fois. Elle n’attendent que ça ces deux putes, qu’on les prenne par tous les trous ! Alban regarda fixement mon père qui lui fit de la tête un signe d’assentiment mais malgré cet encouragement, il ne bougea pas en balbutiant que... non... pas possible... - Mais grimpe-là bordel ta mère, j’le fais bien avec la mienne. Elles sont chaudes comme la braise, c’est un super bon trou, un super bon coup, ajouta Maxime dont les propos me scandalisèrent. - Allez, fourre-lui tagrosse bite. Elle attend que ça. Mais comme mon frère ne se décidait pas, mon père fit le tour du canapé, mit sa main dans le dos de mon frère et le poussa vers le cul maternel qui se déhanchait en signe d’accueil. Alors timidement, mon frère passa ses doigts dans l’entre-jambe tout en continuant de regarder mon père avec incrédulité mais celui-ci continuait de l’encourager... Alban plaqua sa queue dans la raie du cul, posa ses mains sur le dos et se mit à bouger imperceptiblement. Pelote lui ses gros nichons, dit Maxime. Ça va te redresser la gaule et tu vas la mettre bien profond. Alban s’exécuta. Il passa ses bras musclés par devant. Ses mains se refermèrent sur les deux grosses mamelles qu’il se mit à pétrir sauvagement. Mon père se branlait, Christian tenait la tête de maman pour qu’elle avale sa bite au maximum, Alban s’excitait, s’excitait, s’excitait... J’avais envie de crier : "Déconne pas Alban, c’est ...